Les limites du pouvoir managérial TD

MANAGEMENT, chapitre 4:

Les limites du pouvoir managérial

TD page 56-57

Note:

Remarque:

1. Les syndicats sont reconnu comme une organisation à but non lucratif. Ils assurent la défense des intérêts des salariés, au niveau national et à l’échelle de l’entreprise et un rôle de communication important au sein de l’entreprise, en transmettant aux salariés les informations qu’ils auront obtenues lors des comités d’entreprise. En cas de conflit avec l’employeur, les syndicats peuvent engager des actions de protestation (grèves, manifestations, pétitions...). Le financement des syndicats sont assuré par les cotisations

versées par les adhérents du syndicat et peuvent également provenir de subventions de l’état.

2. Selon le graphique 1: «Les taux de syndicalisation depuis 50ans», le taux n'a cessé de baisser entre 1945 à 2005. Il est passé d'environ 28% en 1945 à 8% en 2005, il y a eu donc une baisse de plus de 20%.

Selon le graphique 2: «La représentation syndicale des salariés de 1996 à 2005», la présence syndicale des salariés dans les entreprises, les administrations ou sur les lieux de travail de 1996 à 2005 augmente peu à peu. La présence des syndicats dans les entreprises ou dans les administrations à augmenté de 5% de 1996 à 2005 et la présence des syndicats sur les lieu de travail à augmenté d'environ 3% entre 1996 à 2005.

Malgré la baisse du nombre d'adhérents aux syndicats, les organisations syndicales sont de plus en plus présente dans les entreprises, lieux de travail et administrations pour soutenir les salariés

3. Les syndicats peuvent contrebalancer le pouvoir managérial en exerçant des pressions sur les dirigeants en faisant des grèves comme dans le document 5, qui peu coûter très cher à l'entreprise, en menant des actions devant la justice comme dans le document 4 et 3 pour dénoncée certaine pratiques qui ne respecte pas le salarié, l’environnement...

4. Non, le contre-syndical n'est pas tout le temps efficace. Il n'est vraiment efficace que si des liens de confiance et de respect mutuel sont établis avec le ou les dirigeants. Cela dépend aussi des circonstances comme la fermeture inéluctable d'une entreprise, si le contre-pouvoir est mal organisé ou encore si il poursuive le mauvais objectif.

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