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La crise des subprimes

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Par   •  16 Mars 2013  •  2 550 Mots (11 Pages)  •  1 248 Vues

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Au printemps 2001,la réservjours plus tard,elle annonce que la banque JP Morgan et prete à racheter Bear stear

e fédérale à dèjà baissé à pleusiers reprises ses indices de référence.le 16 mais 2000,ses taux étaient à 6,5%.le chute est vertigieuse puisque’un peu plus d’un an plus tard,on est à..3,75% avec un tel niveau,les conditions d’emprent des ménages sot très favorable pour acquérir un bien immobilier.

l’attrait renouvelé des americains pour leur maison sera accompagné et encouragé par les banques qui vont accroitre leur offre de crédit et faciliter le financement d’un bien immobilier.les ventes de maison neuves dépassent alors un million deux cent mille,c’est-à-dire le double de ce qui ‘tait observé en moyenne jusqu’au milieu des années 90.

cette progression rapide des indicateurs immobiliers a eu un impact fort et concret sur le marché de l’emploi américain.à partir novembre 2001,date de la fin de la récession,l’emplois dans la seule construction résidentielle va augmenter de 30% jusqu à la fin de l’année 2005.C’est près de dix fois plus dynamique que les autres secteurs,puisque,au meme moment,l’emploi toutes barnches confondues,n’augmentait que de 3,5%

Entre novembre 2001 et février 2006,l’immobilier résidentiel représentait d’ailleurs un nouvel emploi sur cinq.

Le coup de frein

Jusau à l’automne 2005, le marché de l’immobilier connaitra une phase exceptionnelle.les ménages veulent devenir propriétaires,les banques ont des propositions de crédit très attrayantes et l’accelération de la construction de maisons engendre un grand nombre d’emplois.

Cepandant,à partir de l’automne 2005,les prix sont devenus beaucoup trop élevés.les ;ménages le constent d’ailleurs.ils trouvent que l’achat d’une maison est devenu trop cher.les faits leur donnent raison.lorsque l’in compare l’evolution du prix de l’immobilier et celui de revenus de l’americain moyen,force est de constater que le premier a progressé beaucoup plus vite que le second.

La hausse des taux d’intert sur les emprentes immobiliers finira de les convaincre d’aatendre avant d’acheter une maison ou un appartement.En plus du prix élevé,le ménage américain ne peut pas y ajouter des remboursements plus importants.celaferait trop pour son budget.la hausse du taux référence de la Fed est cohérent avec le cycle économique.

Cette situqtion vq s4qccentuer qu cours de l’année 2006,les taux d’interet continuant de progresser et les prix restant toujours orientés à la hausse.Ce retournement des ventes de maisons va affecter plausibleprogressivement l’encemble du secteur de la construction.en premier semestre 2006 le mouvement de hausse du marché immobilier est alors terminé.

Le no;bre de maison à vendre devient rapidement très important,cat il y a de moins en moins de demande.

En janvier 2008,les stocks représentent près de dix mois de ventes contre seulement cinq en décembre 2005( la faillite mondiale?)

Les faillites bancaires

Plusieurs faillites bancaires retentissantes ont emaillé la crise financière en 2007 et 2008.La crise de liquidité qui débute en plein milieu de l’été 2007,n’alarme pour ainsi dire ,que les spécialistes de marchés monétaires et finaiciers.le public n’a commencé à prendre conscience de la crise qu à la fin de l’été 2007.

Le role de agence de notation

Une des fonctions essentielles des marchés est de contribuer au processus de détermination et de

découverte du prix des actifs fi nanciers. Or, tous les agents économiques n’ont ni la même capacité

d’analyse du fl ot d’information disponible ni le même accès à cette information. Les banques

s’appuient donc sur la connaissance qu’elles ont de leur clientèle pour déterminer les risques

qu’elles prennent en leur accordant des prêts. En revanche, les investisseurs sur les marchés

n’ont généralement pas la capacité d’effectuer cette analyse détaillée et actualisée du risque de

crédit et sont d’autant moins enclins à engager les frais importants de traitement des informations

nécessaires à la mesure de ce risque que des professionnels indépendants, en l’occurrence les

agences de notation, assurent cette fonction d’évaluation du risque de crédit. La notation des

agences permet ainsi aux investisseurs de disposer collectivement d’une information simple,

lisible et synthétique sur le risque de défaillance d’un émetteur.

Pendant la crise fi nancière de 2007-2008, les notations des produits dits structurés vendus par les

banques ont fait l’objet a minima d’un malentendu entre certains investisseurs et les agences, voire,

selon certains, d’erreurs d’appréciation des agences. Ainsi, en révisant brutalement leurs notes et

leurs méthodologies sur les produits structurés relatifs aux subprime, les agences ont révélé deux

aspects de leurs travaux qui avaient été mal pris en compte par certains investisseurs.

• D’abord, leur notation ne porte que sur le risque de défaillance et n’intègre pas d’autres risques

comme le risque de marché ou d’illiquidité. Or, ces autres risques sont apparus déterminants dans

l’évolution des prix des produits structurés lors de la crise.

• Ensuite, le fait de retenir une même échelle de notation pour ces produits structurés et pour

les produits obligataires classiques s’est avéré trompeur car la nature des produits et des risques

était bien différente. En particulier, les produits structurés ont, du fait de leur construction même,

une volatilité bien supérieure à celle des obligations

Les

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