La Crise Des Subprimes
Documents Gratuits : La Crise Des Subprimes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mariyamaa • 10 Mars 2014 • 312 Mots (2 Pages) • 661 Vues
Introduction :
Les « Subprimes » sont des crédits hypothécaires à taux variables (crédits immobiliers) accordés à une clientèle peu solvable aux États-Unis.
En 2002, afin de relancer son économie, les Etats-Unis ont mis en place des crédits hypothécaires dédiée aux ménages les plus pauvres. Ce système économique à favorisé l’apparition d’une bulle financière immobilière. Les ménages se sont retrouvés avec des faibles salaires et se sont endettés à cause de l’augmentation des taux.
Lors de l’éclatement de la bulle en 2006, les ménages se sont retrouvés avec des biens immobiliers valant moins que la valeur d’achat. Les emprunteurs ont vu le coût de leur crédit s’envolés à cause des taux variables.
Suite à la saisie de nombreux logements immobiliers, les banques ont causées la faillite de beaucoup d’entreprises de prêts hypothécaire à risque, conduisant à l’effondrement du prix des actions de l’industrie du crédit. Nous verrons donc, plus précisément, dans une première partie, les causes du déclenchement de cette crise.
Ensuite, en deuxième partie, nous verrons comment cette crise s’est propagée à travers le monde entier.
Et enfin, en troisième partie, nous verrons pourquoi et comment les banques et les assurances, qui ont investi dans les subprimes par l’intermédiaire de la titrisation de ces crédits à risques, ont été elles aussi touché par cette crise.
Première partie : Le déclanchement de la crise
Le déclenchement de la crise est dû à deux phénomènes : un taux d’intérêt très instable et des prix de l’immobilier très bas. Ces deux phénomènes se sont manifestés aux Etats-Unis à partir de 2004.
La réserve fédérale des Etats-Unis a progressivement relevé son taux directeur de 1 % à 5,25 % entre 2004 et 2006. Les prix de l'immobilier ont commencé à chuter dans plusieurs régions des États-Unis à partir de 2006. Le marché de l’immobilier américain a baissé aux alentours de 20 % durant les 18 derniers mois précédant la crise. Ces fluctuations
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