L'évolution du tennis

L'évolution du tennis a bien changé depuis une dizaine d'années. En effet « le tennis est devenu un sport ordinaire » alors qu'auparavant, ce sport était plutôt un sport bourgeois. Un sport ne peut pas être attaché à une classe sociale en particulier, en tout cas au long terme. Il se peut qu'au court du temps, le sport par exemple le tennis soit pratiqué par différentes classe sociales; d'abord les classes supérieures puis les classes moyennes pour ensuite être pratiqué par les classes populaires. C'est en effet d’imitation des classes inférieures sur les classes supérieures. Il existe un « logique pratique » dans la pratique du sport : les individus appartenant au classes sociales différentes ne pratiques pas le même sport de façon égale, et la pratique du sport différenciée marque aussi une différentes entre le genre et l'âge des individus. L'auteur met en évidence la problématique étant que certains sports ont des points communs qui vont permettre de comprendre qui en joue, les raisons à l'aide de facteurs sociaux tels que le genre, les catégories d'âges et les groupes sociales.

1. L'espace structuré du tennis.

L'espace du tennis est un espace bien définis et structuré. Au sein de la ville de Nantes, il dénombre quatre clubs de tennis qui se livre une concurrence pour l’accès au jeu: Le SNUC ( Stade Nantais Université Club), La Raquette d'argent, le Carquefou et la Gagnerie. De plus, les clubs ne recrutent pas les même joueurs. Certains sont plus axés sur les classes bourgeoises. Mais cela dépend du « pouvoir distinctif de leur histoire » En fonction de l'histoire du club, les clubs ont comme une réputation à tenir et ne recrutent pas la même proportion de classe supérieures. On peut donc dégager une idée générale qui est qu'il n'y a pas de mélange de groupes sociaux et que les clubs de tennis reproduisent les positions sociales qui existent dans la société. Les clubs se répartissent alors les différents parcours professionnelles et les diplômes. Il existe deux pôles importants qui sont d'une part la « culture universitaire » et de l'autre « les savoirs techniques et l'esprit de l'entreprise ». De plus, les recrutements se font géographiquement, c'est-à-dire en fonction du lieu géographique du club. Certains s'inscrivent à un club pour la proximité avec son domicile.

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