L'industrie Et Le Marché Automobile Française En 2009 Et 2010
Mémoire : L'industrie Et Le Marché Automobile Française En 2009 Et 2010. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar limbiador • 21 Janvier 2013 • 603 Mots (3 Pages) • 928 Vues
Économie général
Devoir 1
Question
En 2008 et 2009 la crise de dimension historique fait rage, de nombreuses activités économiques s’effondrent et les constructeurs d'automobile ne sont pas épargnés. Une chute de la production mondiale de 4% en 2008 et de 13% en 2009, soit près de 11,5 millions de pertes depuis 2007 sur un total de 62 millions de véhicules. Aux États-Unis, le marché automobiles c'est effondré de 50% dès 2007 et en Europe la situation n'est guère mieux, depuis 2008, le marché a reculé de 8%.
La vente de véhicules industriels déplore une chute ( de -38% ) en 2009 qui se poursuit plus faiblement (-24%) au premier semestre 2010.
Les véhicules industriels sont coûteux à l'achat et ont une durée de vie plus importante que les véhicules utilitaires et ceux des particuliers, les entreprises de ce fait reportent l'investissement du renouvellement de leurs véhicules en période de crise, ce qui entraîne un ralentissement de la production.
Paradoxalement la décadence du marché c'est calmé grâce à l’émergence de pays en voie de développement tel que la Chine, le Brésil, etc...Qui sont passé de 16% en 2000 à 46% en 2009. Cette hausse a pu contrebalancer l'économie mondiale est par la même occasion accélérer le contraste des pays occidentaux et des pays émergents.
En France, cette crise n'a pas eu que des répercutions sur les entreprises, les ménages l'ont subi de plein fouet. Le manque de production et l'insuffisance financière des banques ( fébriles face au nonpayment des échéances ou créances des entreprises ) eurent un effet catastrophique sur les sociétés qui ont du licencier et réduire leur charge salariale. Cette conjoncture économique a eu pour impact l'affaissement du taux de demande de véhicule industriel.
Les entreprises automobiles sont heureusement accompagnées face à cette lutte sans merci contre cette dépression mondiale par le gouvernement français qui a décidé de leur venir en aide en instaurant : des prêts directs ; la prime à la casse ; subventions ; crédit d’impôts ; limitation des charges et des mesures prisent pour aménager le chômage partiel pour combler le coût de revient d'une voiture industriel en France et ainsi d'éviter les plans sociaux. Car la concurrence mondiale est grande et la tentation de délocaliser aussi.
Cette aide du gouvernement octroyée aux entreprises, bénéficie surtout aux employés, car moins de production ne peut aboutir qu'à moins d'emploi et moins d'emploi c'est aussi un taux de chômage qui augmente, une précarité qui s'installe, une baisse du pouvoir d'achat et c'est toute l'économie qui en est affectée. En France, le principal moteur de la croissance, c'est la consommation des ménages à l'inverse de son voisin l’Allemagne, les États-Unis... Qui est la production.
Le secteur automobile à un taux d'ouverture de 440% ce qui démontre une forte concurrence entre les différentes entreprises. Plus le taux d'ouverture est important, plus la concurrence est grande ; en comparaison, le taux d'ouverture
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