Historique et définition sur la RSE
Analyse sectorielle : Historique et définition sur la RSE. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 17 Mars 2014 • Analyse sectorielle • 1 250 Mots (5 Pages) • 671 Vues
RSE
Amelie Bellion
17/02/2014
I. Retour historique et définitionnel sur la RSE
1.1. Historique et définitions
Définition multiples :
a. Def descendant : La RSE consiste dans un engagement des entreprises d’évoluer dans un cadre éthique pour participer au progrès économiques et contribuer à l’amélioration de la qualité de vie de leurs salaries, de l’environnement local et de la société dans son ensemble (world business council for sustainable development)
- La RSE est une initiative de l’entreprise, une démarche venant de l’entreprise, c’est elle de choisir de s’engager dans cette logique
- Entreprise plutôt traditionnel
b. Def ascendant : La RSE correspond aux divers attentes économiques, légales, éthiques et discrétionnaires de la société envers les entreprises à un moment déterminé (Robert Démontrond)
- La RSE est un droit des parties prenant, pour la société, la logique est inverse. On met en avant des attentes de la société.
- Entreprise plutôt ouvert et moderne
c. Def dialogique : La RSE c’est « engager, en collaboration étroite avec leurs parties prenantes, un processus destiné à l’intégrer les préoccupations en matières sociale, environnementale, éthique, de droits de l’homme et de consommateurs dans leurs activités commerciales et leur stratégie de base. » (commission européenne)
- La logique est approfondir, la RSE est un affaire partenarial ; comme un problématique partenarial, collaborative
- Entreprise dans la stratégie RGE
Responsabilité citoyenne, social, sociétale ?
a. Responsabilité citoyenne : gouvernance
L’entreprise accepte les pouvoirs du conso, du citoyenne, aussi les salariés qu’il y a un poids dans la prise de décision. On ouvre entreprise à de nouvelles parties prenante
b. Responsabilité social : champ plus large, environnement, éthique, écologique
Va porter sur tous les valeurs (humaine et environnement) que l’entreprise va respecter
Tous ce qui va être intégrer dans la philosophie des valeurs de l’entreprise. On va penser au acteur humain et les actants.
c. Responsabilité sociétale : externalités positives, négatives des actions dans leurs dimemsions sociales et environnementales
Prenant en comptes les externalités positives ou négatives de ses activités sur les humains, sur l’environnement et sur la société en globalité
EX : un arbre coupé, un arbre replanté
Historique
1976 : OIT, la Déclaration des principes tripartite sur les entreprises multinationales et la politique sociale, 3 volets : l’emploi, la formation et les conditions de travail. Inciter les entreprises de respecter ces 3 volets. On reconnaît que l’entreprise a une responsabilité envers les parties prenantes interne, pour la première fois dans un document officiel
1993 : référentiel européen EMAS Eco Audit, performances environnementales. Prouve qu’elle est dans la logique de … dans leurs activités. On est dans une logique de preuves. Les entreprises s’engager de prouver , une logique normatique, des normes
1996 : CSR Europe, réseau pour la diffusion, un réseau d’entreprise a pour objectif de récupérer et diffuser les bonnes pratiques, des problématiques de réflexion
2001 : Global Compact ; on est dans une logique de réseau international. Toutes les entreprises s’engagent à respecter 10 principes universels.
2002 : Sommet de la Terre Johannesburg, développement durable, états, entreprises, ONG. Intégrer la logique de responsabilité de l’entreprise.
Pas de caractère péremptoire. L’entreprise reste maître la décision de la RSE. Aucun text venant à obliger l’entreprise
1.2. Théories constitutives
1.2.1. Théories néoclassique
« The business of business is business »
L’entreprise est une organisation fermée. On est dans une approche rationnelle, non morale. L’entreprise n’est pas une personne, elle n’est pas de moral, dons elle n’a pas de responsabilité. Elle n’a qu’un rôle, c’est la production, etre profitable pour elle meme. Elle contribue à l’économique.
Les salariés sont considéré comme les outils de production, pas des parties prenantes.
1.2.2. La théorie des parties prenantes (TPP)
On réfléchie en terme d’approche morale
La notion d’acteur de l’entreprise devient un notion très globale. On prend en compte certains valeur
2 def de « partie prenante »
« Tout groupe ou individu pouvant affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs de l’entreprise » (Freeman).
« Tout groupe ou individu encourant un risque du fait des activités de la firme » On considère le salarié comme potentiellement impacté par les activités de l’entreprise. On a une notion de risque. Toutes les parties risques d’impacté par les activités de l’entreprise.
Typologie des parties prenantes :
Primaire / Secondaire
Primaires : directement, liés par un contrat explicite avec l’entreprise.
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