Economie politique du protectionnisme
Analyse sectorielle : Economie politique du protectionnisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sabrina97254 • 24 Janvier 2014 • Analyse sectorielle • 1 124 Mots (5 Pages) • 772 Vues
L’économie politique du protectionnisme
Cette politique économique : Cherche à maximiser le bien-être agrégat. Elle n’est pas nécessairement mise en place par planificateurs (des hommes politiques avec ses propres intérêts)
Les avantages du libre échange
Tout d’abord, le libre-échange permettrait d’éviter les pertes d’efficience engendrées par la protection. Autrement dit, il permettrait aux consommateurs et aux producteurs d’allouer leurs ressources de manière plus efficiente.
- Le bien-être national d'un petit pays (qui ne peut pas influer sur les prix moniaux) est plus grand avec le libre-échange.
- La restriction du commerce a pour conséquence le fait que les consommateurs paient des prix plus élevés pour les produits.
- La restriction du libre-échange. Génère des distorsions de prix aboutissant à la surproduction, générée soit par les firmes existants, soir par l’entrée de nouvelles firmes.
Les gains apparaissent comme relativement limités, mais beaucoup d’économistes sont convaincus que les économies des distorsions de consommation et de production sous-estiment les avantages du libre-échange.
Lorsque la mise en place de quotas est préférée à l’instauration de droits de douane, des couts nouveaux apparaissent, associés aux stratégies de recherche de rente.
- Chercher à détenir des licences d’exportation ou le droit de vendre des quantités limitées de biens importés consiste pour les agents à utiliser du temps ou d’autres ressources.
Dès lors, un autre avantage du libre-échange pourrait être qu’il évite le gaspillage de ressources lié à la recherche de rente.
Un autre argument en faveur de libre-échange est qu’il permet aux firmes ou aux industries de tirer parti de et bénéficier des économies d’échelle.
Par ailleurs, le libre-échange est susceptible de garantir un niveau minimal de concurrence et ainsi des opportunités pour l’innovation.
Ce sont des gains dynamiques qui viennent alourdir les couts imputables aux politiques protectionnistes.
Enfin, l’argument d’économie politique en faveur du libre-échange soutient que c’est la politique la plus réalisable, même s’il en existe de meilleurs (du point de vue d’un bien-être social).
- Cela permet de couper court aux revendications partisanes et de ne pas favoriser certains groupes d’intérêts au détriment d’autres groupes d’intérêt.
- C’est la politique la plus simple à mener.
De façon générale toute politique protectionniste diminue le bien-être social. Cependant, il existe quelques arguments théoriques permettant de défendre les thèses protectionnistes.
Dans un grand pays (en mesure d’influer les prix mondiaux), la mise en place d’un droit de douane réduit le prix du bien importé sur les marchés mondiaux permet d’améliorer les termes d l’échange.
- Ceci peut surpasser les couts associés aux distorsions générées par le droit de douane à condition que les droits de douanes soient relativement faibles.
En fait, on peut montrer que le bienêtre dom est une fonction convexe du droit de douane sur le bien importé.
. Fonction de bien-être croissant puis décroissant du droit de douane sur le bien importé.
Diminue le prix international du bien importé et augmente celui du bien exporté.
Il existe un droit de douane optimal que dépend inversement de l’élasticité de la demande d’importation de l’économie étranger.
Droit de douane est implicitement une taxe sur les demande étrangères : règle des élasticités inverses.
Quand on mit en place un droit de douane on diminue le prix mondial, en taxant les étrangers.
Haut élasticité moins de taxation (elles vil demande beaucoup diminuer)
Les limites de l’argument d’amélioration des termes de l’échange
Il ne concerne que les grands pays, qui peuvent user de leur pouvoir de monopole. Les états unis ou certains pays de l’UE par exemple peuvent, en fixant un droit de douane,
...