Devoir Econmie - Droit Cned: l’industrie et le marche automobile français en 2009 et 2010

Question 1 :

Les raisons pour lesquels les constructeurs automobiles ont réduit leur capacité de production en 2008 et 2009 sont la crise record qui est apparue à la mi-2008, l'évolution de la géographie mondiale du secteur automobile s'est déplacer vers les pays émergents qui représentent 46% de la production automobile en 2009 contre 16% et 2000 et les replies d'activités.

Question 2 :

L'évolution de la demande de véhicules industriels en France en 2009 et au premier semestre de 2010 est +0,8 points sur le marchés des voitures particulières et de +3,7 points sur celui des utilitaires légers.

Question 3 :

La phrase veut dire que les constructeurs français d'automobiles qui produisent sur le territoire national éprouvent les plus grandes difficultés à travers leur activité de production à créer de la valeur ajouté. Les contraintes économiques de production et d'approvisionnement sont fortes et empêchent un développement au sein du territoire. Les constructeurs réclament, à travers les propos de Xavier Fels, président du CCFA des aides publiques destinées à la réduction des coûts de production

Question 4 :

L’externalité négative liée à la commercialisation de véhicule automobile est la pollution liée au rejet du CO2 dans l'atmosphère, pour lutter contre les rejets de CO2, l'état à instauré en janvier 2008, un bonus / malus écologique pour les voitures neuves dans le but d'inciter l'achat de véhicules de plus en plus "propres". Le bonus octroyé est financé par un malus sur les voitures les plus polluantes. La prime à la casse reprend le principe de réduction des gaz à effet de serre mais le mise en place de cette mesure est avant tout de soutenir la consommation en proposant une prime pour la mise à la casse de véhicule ancien de plus de 10 ans. Pour pouvoir bénéficier de cette prime le taux de rejet de dioxyde de carbone doit être inférieur à un certain seuil qui à toute fois été relevé par apport à celui du bonus/malus écologique.

L'intervention de l'état prend ici toute sa mesure puisqu'elle permet de dynamiser et de relancer les ventes d'automobiles en prenant en compte la dimension environnementale et l'intérêt général de la population.

Question 5 :

Question 6 :

La commercialisation des véhicules et des composants automobiles repose sur le libre échange entre les pays. Le libre échange à conduit à une spécialisation des pays dans les activités les plus productives c'est la théorie "des avantages absolus". C'est ainsi que pour conserver, voire améliorer cette compétitivité et leurs parts de marché, les constructeurs automobiles Français, délocalisent dans les pays émergents. La finalité est d'améliorer le coût de revient de leur production grâce à une main d’œuvre bon marché et une fiscalité allégée. Les pays développés du "Nord" développent entre-eux des échanges de produits similaires. L'automobile est un bien mondialisé, les pays producteurs exportent une partie de leur production et importent aussi une partie de la production mondiale, c'est un marché fortement concurrentiel.

Les constructeurs automobiles ont développé en premier lieu leur activité sur le marché intérieur, mais le marché est saturé et le développement à l'international sur des marchés dynamiques à forts potentiels est une priorité. Les pays émergents (Chine, Inde, Brésil...) sont l'avenir de l'industrie automobile mondiale et la convergence des grands groupes automobiles vers ces zones géographiques est déjà une réalité. Dans ce libre échange, la théorie " de la demande de différence" de Bernard Lassudrie-Duchene est aussi à prendre en considération car elle se prête très bien au marché mondial de l'automobile. Le désir du consommateur est de bénéficier d'un choix important d'automobiles avec des caractéristiques différents est au centre de cette théorie. Cette différenciation

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