Comportement dans les affaires
Commentaire de texte : Comportement dans les affaires. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kinstinbo • 5 Mars 2014 • Commentaire de texte • 1 307 Mots (6 Pages) • 639 Vues
Question 1 :
Recenser au moins six (6) préjudices directs et indirects qu’un écart de conduite peut causer à une entreprise ?
Image de marque touchée
Risque de perte de profit
Perte de la valeur des actions
Poursuites judiciaires pour implication dans des assassinats
impact sur les médias
impact sur les consommateurs
Question 2 :
Quelle peut être la réaction des employés et des investisseurs lorsqu’ils sont témoins d’un écart de conduite dans l’entreprise?
Employés :
• Nuit à l’attraction et la fidélisation
• Influence négativement l’identification
• Diminue la mobilisation
• Génère de l’insatisfaction
Investisseurs :
• perte de confiance
• création de fonds éthiques
Question 3 :
Montrer de quelle manière le subjectivisme moral - qui ne propose aucune finalité de la vie, ni aucune conception de la « vie bonne », parce qu’il réduit l’éthique à des préférences subjectives- peut causer une faille au niveau de la sensibilité éthique, au niveau de l’intention éthique, et au niveau du jugement (partage d’un sens commun de l’écart suppose le partage de valeurs éthiques communes,) comme de l’action éthique (force du caractère du moral) ?
• le subjectivisme : ne donne aucune conception de la vie bonne, rend l’application de l’éthique appliqué difficile, on ne peut plus proposer du bien et du mal, on ne peut plus rien proposer à la conscience. on veut que l’humain se comporte correctement..
• faille au niveau de la sensibilité : on pense à nous même
• faille au niveau de l’intention : le chaos dans le monde on s’en fout
• faille au niveau du jugement : on a tendance à penser à nous même
Question 4 :
Montrer le lien possible entre le fait que Kohlberg perçoit le moment d’enracinement du stade I de son modèle de développement moral cognitif (niveau 1 : Obéissance et orientation punition; niveau 2 : Objectif instrumental et échange) comme inférieur au moment d’arrachement du stade 3 de son modèle (niveau 5 : Contrat social et droit des individus; niveau 6 : Principes éthiques universels) et son adhésion fort probable à l’objectivisme moral et à l’approche déontologique? Quelles critiques pourriez-vous faire à ce modèle cognitif de développement moral ?
• Il dit si vous voulez être ouvert au monde vous devez vous éloigner vos valeurs de famille, pour aimer les autres nationalités, le Québécois devra laisser tomer ses valeurs, il deviendra donc rationnel et formel,
• il est probablement un objectiviste comme Kant, il parle de développement cognitif, dans le mot cognitif : il ne veut rien savoir des valeurs, il est comme Kant.
• on n’a pas à s’arracher à nos racines pour être moderne et apprécier les autres. On doit bien s’enraciner pour savoir qui on est et ensuite pouvoir apprécier les autres. mais pourquoi on aurait à rejeter nos valeurs?
Question 5 :
a) Quel est le rôle de la culture organisationnelle (4 arguments)
• Elle guide les comportements des salariés et consolide l’action managériale
• Elle délimite les frontières de l’entreprise et fixe la limite de ce qui est acceptable ou pas
• Elle réduit la complexité du réel et facilite le changement organisationnel:
• Peut participer de l’image de marque de l’entreprise
b) Quelle différence y a t’il entre une définition anthropologique de la culture organisationnelle et une définition managériale ?
Une vision anthropologique: un ensemble de manières de penser, de sentir et d’agir apprises et transmises par des expériences de socialisation
Une vision managériale: un outil de gestion et de standardisation normative
Question 6 :
a) Comment est interprété le fait social et la culture au niveau des différentes couches d’une culture sociétale ?
Fait social :
• niveau 1 : fait social comme pratique particulière
• niveau
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