Cas d’entreprise : Smectane, affronter le changement

Cas d’entreprise : Smectane, affronter le changement

1) L’entreprise Smectane est une entreprise crée après la seconde guerre mondiale, c’est une entreprise familiale qui est spécialisé dans la création de médicaments a base de plante. Smectane se développe petit à petit en mettant en place une structure divisionnaire par zone géographique.

L’entreprise utilise une stratégie d’investissement afin de contrer la concurrence qui c’est fortement développer entre les années 1970 et 1980 au niveau des entreprise pharmaceutique. Grâce à cette stratégie, l’entreprise se développe dans un nouveau métier, l’oncologie.

Par la suite afin de garder son statut de leader dans ce milieu, l’entreprise a opté pour une stratégie d’innovation et ainsi s’appuyer sur les produits phare de la marque pour en faire sa force.

A partir de 2001 l’entreprise utilise une stratégie de diversification afin d’étendre son marché. Elle s’associe par des partenariats à des laboratoires américains pour pouvoir obtenir de nouveaux brevets.

2) Depuis sa création l’entreprise à traverser différentes crises :

• Une crise de leadership avec l’arrivé d’un dirigeant externe du cadre familiale qui était installé depuis la création de l’entreprise.

• Une crise de contrôle à cause des modifications apportées par le nouveau dirigeant.

3) Le problème de management est survenu après l’arrivé de Henri Bélidal qui voulait faire évoluer l’entreprise dans un cadre anglo-saxon dans une entreprise qui opère de façon familiale, cette évolution supprimera le mode de fonctionnement familiale. L’intégration de la culture anglo-saxonne bouleverse la structure.

Pour la première fois les cadres de l’entreprise qui évoluent dans l’entreprise depuis un certain nombre d’année menace de faire grève.

Cela montre le problème de management de monsieur Bélidal.

4) L’analyste français Michel Crozier montre que la résistance à ce type de changement est normale. Le changement trop rapide du management de l’entreprise engendre de l’inquiétude de part les salariés et modifie les stratégies individuelles les poussant à engager des grèves au sein de l’entreprise. La culture constitue un facteur supplémentaire de la résistance, la mise en place de la culture anglo-saxonne intègre des changements organisationnels de chaque salarié.

5) Henri Bélidal n’a pas tenu compte de la culture traditionnel (la culture française) qui constitue un frein au changement. Les cadres et salariés anciens sont choqués par les nouvelles conditions de travail. Henri Bélidal qui n’est pas membre de la famille aurait du penser au caractère familiale de l’entreprise. En tenant des propos comme « revitaliser une société sclérosée et aveugle », il ne met pas en confiance les cadres qui se mettent en grève. Le changement ne pouvait pas être compris.

...