Campagnes anti-tabac

Question 1 :

1) Campagnes anti-tabac : Gemma évolue dans un marché qui a subi un dur coup avec différentes campagnes de lobbyistes par les organisations anti-tabac. Peu à peu, fumer est moins bien perçu et les produits se vendent moins bien. Gemma a subit l’effet des prix et des campagnes ce qui fait en sorte que la consommation du tabac décline. Par conséquence, le volume des ventes a diminué de 5% depuis 1980. Gemma n’a donc pas le choix de rationaliser ses opérations de production ce qui a eu pour effet de fermer un certain nombre d’usines selon Gemma. Elle doit donc bien choisir ses stratégies afin de maximiser sa production avec les usines qui demeurent ouvertes.

2) Oligopole et fixation des prix par le gouvernement : dans un marché oligopolistique, il n’y a pas de place à l’erreur. La stratégie de Gemma doit être efficace car ce marché oligopole est en partie régit par le gouvernement qui fixe les prix à l’aide des taxes. Si les géants du tabac ont tout de même la liberté dans la détermination des prix de la vente aux détaillants, il n’en demeure pas moins que lorsque le gouvernement décide d’hausser ou de baisser les taxes sur les produits du tabac, c’est toute l’industrie qui s’en trouve affecté. Pour contrer l’effet de la taxation, Gemma doit réviser ses prix à la hausse, créant ainsi une augmentation des prix pour le consommateur et une belle opportunité aux contrebandiers de renflouer leur coffre.

4) Contrebande : avec les réseaux clandestins qui ne cessent de prendre de l’ampleur, résultat de l’écart entre les taux de taxation canadien et américain, Gemma se trouve privé de la collaboration étroite avec le secteur de distribution, son principal outil concurrentiel. Afin de tenter d’enrayer le mouvement de contrebande,

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