Questions connaissances economiques

LES CONNAISSANCES ÉCONOMIQUES

1) Que signifient les notions de productivité moyenne et de productivité marginale ?-

• Productivité moyenne : rapport entre la production et la quantité de facteur utilisé

• Productivité marginale : mesure l’accroissement de la production suite à l’augmentation d’une unité de facteur, l’autre facteur restant croissant ou supplément de production obtenue grace à l’utilisation d’une unité supplémentaire de facteur.

2) Quels facteurs subjectifs individuels influencent la consommation ?

Huits facteurs subjectifs influencent la consommation: le revenus des ménages, le niveau des prix des biens de consommation, la capacité d’endettement, les anticipations des ménages sur l’évolution des prix, les politiques économiques de redistribution du revenu, la politique fiscale ou monétaire, le changement démographique, le niveau des biens et services collectifs.

3) Qu’est-ce que l’élasticité-prix ?

L’élasticité prix traduit la sensibilité de la quantité demandée à l’égard d’une variation du prix ou le changement proportionnel du prix par rapport à la demande.

4) « État Providence » et « État gendarme » : qu’évoquent, pour vous, ces deux notions ?

Etat Providance: l’intervention de l’Etat dans l’économie pour stimuler la croissance économique (théorie keynesienne)

Etat gendarme: rôle de faire respecter les rêgles de la concurrence (rôle se limites aux fonctions regaliennes : Justice, Politice, … : théorie libérale)

5) Selon l’approche libérale, quelles sont les conditions nécessaires préalables à la détermination du prix d’équilibre ?

Les conditions nécessaires à la détermination du prix d’équilibre: concurrence pure et parfaite et la rationnalité des agents économiques.

6) Qu’est-ce que le « carré magique » ?

C’est la reprsentation de la situation économique d’un pays mésurée par quatre indicateurs : le taux de croissance, le taux de chômage, le taux d’inflation et le solde de la balance des transactions courantes.

7) Qu’appelle-t-on l’effet d’éviction ?

Est le fait que l’Etat utilise toute l’épargne au détriment de l’initiative privée.

8) Quels principaux indicateurs permettent de mesurer le déficit budgétaire ?

Principaux indicateurs qui mésurent le déficit budgétaire: ce sont les dépenses (modification de la structure des dépenses par fonction ou par ministère, évolution de la répartitition entre dépense de fonctionnement et dépense d’investissement, aide aux entreprises ou reduction des interventions en leur faveur) et les recettes (modifications des taux ou de l’assiette d’imposition, création ou suppression d’impôts, degrevement fiscaux ou réduction des avantages fiscaux).

9) Qu’appelle-t-on « concurrence pure et parfaite » ?

Une concurrence PP se traduit par par une concurrence qui remplit les conditions suivantes : l’atomité des agents, l’homogéinété des produits, la parfaite mobilité des facteurs, le libre accès au marché, la transparence du marché.

10) Comment calcule-t-on le PIB d’un pays ?

Le Produit Intérieur Brut est l’ensemble des richesses créés d’un pays sur le territoire national et est la somme des valeurs ajoutées des entreprises résidentes sur le territoire national.

11) Quels sont les différents types d’inflation ?

L’inflation se traduit par une hausse générale des prix. Les différents types d’inflation:

• Inflation selon la hausse des prix : déclarée ou ouverte, galopante et rampante

• Inflation selon l’origine des deséquilibres: inflation par les coûts, par la demande et l’inflation structurelle.

12) Quelles sont les trois catégories d’investissement qu’une entreprise peut réaliser ?

Trois catrégories d’investissement : capacité, remplacement et productivité ou de rationnalisation.

13) Qu’est-ce que la loi de l’offre et de la demande ?

Pour un produit donné, la confrontation de l’offre et de la demande permet de déterminer un prix dit d’équilibre qui satisfera à la fois acheteur et vendeur.

14) Que signifie la notion de « multiplicateur d’investissement » dans l’approche keynésienne ?

Le principe du multiplicateur keynesien repose sur un effet revenu : la dépense d’un agent engendre un revenu pour un autre

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