Les problèmes identifiés par l’OCDE

1. Les problèmes identifiés par l’OCDE

• Des lois sur la condition du travail et sur la sécurité de l’emploi qui limite les décisions des entreprises

• Des négociations collectives qui visent à établir un salaire selon le rendement de la personne ce qui exclut les travailleurs moins productifs

• Le niveau élevé du salaire minimum légal qui fait en sorte que les employeurs vont chercher les mains d’œuvres les plus efficaces puisqu’elles lui coûtent assez cher et donc ils auront tendance à moins employer des jeunes et des travailleurs qui ont peu d’expérience.

• Les charges sociales très élevés ce qui fait en sorte que les personnes se décourage à chercher un emploi puisque une grande partie de leur salaire sert à payer ces charges.

• Le poids élevé de la fiscalité en entreprise ainsi que les impôts sur les revenus

• Manque de système de formation afin de pouvoir enrichir les employés de nouvelles compétences.

2. Les solutions proposées par l’OCDE

• Rendre les salaires beaucoup plus flexible, c’est-à-dire faire varier les salaires selon plusieurs facteurs : la performance de l’employé, la performance de l’entreprise, les chocs sur le marché… Bref, il peut aller à la hausse comme à la baisse tout dépendamment du besoin de l’entreprise

• Décentraliser la négociation collective au niveau de l’entreprise afin que l’augmentation des salaires reflète mieux le changement de la productivité

• Rendre les lois du travail plus souple en termes de recrutement, de congédiement et des heures de travails

• Améliorer la mise en place de programmes sur le marché du travail afin de motiver les personnes aux chômages de trouver plus vites un emploi

• Porter une grande importance sur le fait d’enrichir notre main d’œuvre avec de nouvelles compétences et aptitudes

3. Le type néo-classique

Les problèmes et les remèdes proposés par l’OCDE sont de type néo-classique. En effet, un des problèmes qui dit être en cause du chômage est le niveau élevé du salaire minimum. La théorie néo-classique dit que lorsqu’il y a une augmentation du salaire des travailleurs d’une certaine catégorie professionnelle comparée à la productivité cela vient à dire qu’il y a un excès de demande. Donc, les employeurs vont préférer investir dans des machines et baisser les salaires des employés puisque si non ils peuvent être facilement substituable par les machines alors c’est certains qu’ils accepteront. L’autre stratégie adoptée par les néo-classiques est de minimiser la règlementation. Tout comme les néo-classiques, l’OCDE propose d’assouplir la légalisation du travail. Une autre solution proposée est d’accroitre la flexibilité salariale, en d’autres mots, évité le plus de contrôler les salaires et les prix. Bref, tous les problèmes sont d’ordre néo-classique ainsi que les solutions proposées. Elles visent tous à la dérèglementation des politiques établies ce qui encouragera la compétition et de combattre la rigidité de salaires afin que la répartition des revenus des marchés sera plus égales.

4. Les conclusions par l’auteur

• Il n’existe pas encore de théorie qui peut vraiment nous dire s’il y a une liaison de cause-à-effet entre la flexibilité du marché du travail et d’une légère baisse du chômage

• Les solutions de flexibilité et de déréglementation proposées par l’OCDE à créer les emplois à temps partiel ou temporaire qui ont un niveau de protection sociale moindre et en plus cela n’a pas réglé le problème du chômage

• Aucune théorie ni aucun calcul peut mesurer l’effet que le salaire minimum à sur l’emploi

• La négociation collective a changé, elle est allée plus dans la décentralisation. Néanmoins, il y a encore des entreprises et des secteurs dont ils portent une grande importance pour la négociation et où elle subsiste toujours.

• En Europe, les salariés qui sont couvert par les conventions collective est beaucoup plus élevé que le taux de ce qui sont syndiqués et ceux à cause des procédures d’extension et de l’intégration des entreprises aux organisations patronales

• La négociation collective ainsi que les lois du travail servent ensemble pour stimuler des nouveaux emplois ainsi que de les protéger

5. La flexibilité des salaires et le chômage

Selon l’auteur, la flexibilité des salaires n’a pas contribuée à diminuer le chômage en Europe. En effet, si on décide diminuer le salaire cela va

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