Les Nouvelles Formes D'organisations Du Travail Dans Le Secteur Tertiaire

Les nouvelles formes d’organisations du travail dans une entreprise du secteur tertiaire

Introduction

Mon sujet d’étude va traiter sur les nouvelles formes d’organisations du travail dans une entreprise du secteur tertiaire.

Afin d’effectuer ce sujet d’étude, je me suis aidée d’internet principalement au CDI, mais aussi chez moi.

Ma fiche contiendra deux parties :

- La première parlera de l’organisation du travail chez Renault dans les années 80,

- La deuxième partie parlera des nouvelles formes d’organisation du travail chez

Renault aujourd’hui.

Partie I : L’organisation du travail chez Renault dans les années 80

En 1980, Renault est le leader sur le marché automobile français avec plus de 40% de part de marché grâce au succès du Toyotisme crée par Taichi Ohno en 1960, Le toyotisme est basé sur une plus grande responsabilisation des travailleurs qui voient leurs tâches enrichies, qui deviennent polyvalents et qui doivent s'impliquer dans leur équipe. Il faut également produire selon les exigences de la clientèle en qualité et surtout en quantité.

C’est ce qui a développé la technique du « Juste à temps » : il faut produire ce que le consommateur veut, quand il le veut. Cette adaptabilité permet d’offrir une gamme de produits plus diversifiés donc plus adaptés aux goûts des consommateurs.

Le principe du flux tendus ou encore du « juste à temps » se regroupe en 5 exigences (les 5 zéros) :

- Zéro stock

-Zéro délai

-Zéro défaut

-Zéro panne

-Zéro papier

Avec ce système, Renault réalisait 20% de leur production à flux tendus.

Cette production n’est pas entièrement basée sur ce principe car ne pas avoir de stocks peut être dangereux en cas de problème de grève, ou de panne mécanique par exemple.

Cependant, étant globalement une réussite, Renault décide de suivre cette nouvelle forme d’organisation du travail.

On le voit d’ailleurs sur le tableau qu’a partir des années 1960 les voitures fabriquées par an ne cessent d’augmenter avec un nombre moins important d’ouvriers car ils sont plus qualifiés (En 1952, 172 100 voitures fabriquées par an avec 52 900 ouvriers, en 1963, 668000 voitures fabriquées par an pour 36 600 ouvriers).

On remarque également sur le tableau qu’en 80 ans, l’effectif des salariés est passé de 6 à 105 000 ouvriers car la demande de travail quantitatif et qualitatif n’a cessé d’augmenter.

Partie II : L’organisation du travail chez Renault aujourd’hui

En période même de crise, il est difficile pour chaque entreprise de tenir bon, même pour les plus grandes. Renault,

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