Le Père Goriot, Honoré de Balzac, 1834
Cours : Le Père Goriot, Honoré de Balzac, 1834. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar MQT92 • 12 Octobre 2021 • Cours • 607 Mots (3 Pages) • 424 Vues
Le texte prêté à l’étude est extrait du roman Le Père Goriot écrit par Honoré de Balzac en 1834. Cette œuvre littéraire soulève la problématique : Comment le personnage de Vautrin se démarque-t-il tant des autres. Ce commentaire sera composé de deux parties. Premièrement, la manière dont Balzac le décrie, puis, pourquoi le lecteur peut voit ce personnage différemment des autres personnages du roman.
Pour commencer, comme le lecteur la compris nous parlerons de la description physique et mental de Vautrin mais aussi de comme il est vis-à-vis des autres personnages du Roman.
Premièrement, comme a peut le constater le lecteur, Vautrin possède des aptitudes physiques supérieur à la norme. En effet, malgré les « quarante ans » (l. 1) du personnage, Balzac énumère de nombreuse qualité physique tout en restant réaliste (« rayer par les rides » l. 5). On le voit bien quand il le décrit comme : très musclé à la troisième ligne avec « muscle apparent » ou bien comme jolie avec la linge cinq et sept avec « d’un roux ardent » ou avec l’euphémisme « qui ne déplaisait point ».
De plus, comme le lecteur l’a sans doute remarqué il est décrit comme l’homme parfait. Effectivement, d’après l’auteur Vautrin est une personne instruite, qui possède de bonne manière et toute les qualités nécessaires pour être aimer et réussir sa vie. Le lecteur pour le voir à la cinquième et neuvième ligne avec « obligeant et rieur » et « qui connaissait tout » ou même avec la répétition de « si quelque » (l. 7 et 10) qui montre qu’il est dévoué.
Enfin, contrairement à ce que le lecteur pourrait s’attendre, Vautrin est en marge de la société, et même de sont entourage. Cela nous est montré grâce aux comparaison faite par l’auteur. En effet, Vautrin est perçus « comme un juges sévère » (l. 16) ou alors « sa gaieté [était] comme une barrière entre les autres et lui. L’auteur le comparent même à ses paires avec « Il […] devinait les affaires de ceux qui l’entourai tandis que nul ne pouvait pénétrer […] ses pensées.
Comme nous venons de le voir Vautrin est au-dessus de la moyenne, mais il est aussi en marge de la société. Nous tenterons donc en second lieu de développer cette deuxième idée afin de comprendre pourquoi le lecteur voit ce personnage différemment des autres.
Comme nous l’avons démontré précédemment, Vautrin est différent physique et intellectuellement ce qui le différencie de ses semblables. De plus, ce personnage a des habitudes bien à lui ce qui le rend très routinier. On le voit bien à la ligne dix-sept et dix-huit de « ses meures consistaient » à « vers minuit » ou l’on nous décrie l’organisation de ses journées.
Puis, le lecteur aura peut-être remarqué que l’auteur insiste sur le fait que son personnage est unique avec la répétition du mot « seul » au linge dix-neuf et vingt-deux ou alors avec « les autres et lui » (l. 29)
Enfin, nous pouvons remarquer que Vautrin est une pointe mystérieuse. En effet, il est beau, fort, intelligent mais il sait tous ce que fait sont entourage. Comme on l’a déjà vu, il est comparé à « un juge sévère ». De plus, dans les derniers linges cette l’extrait, l’auteur évoque « un mystère
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