La Nouvelle Afrique Du Sud

LA NOUVELLE AFRIQUE DU SUD

L’Afrique du sud est la mine des nouvelles idées économiques de l'Afrique, a la tête du continent africain en termes de production et d’extraction minière. lAfrique du sud comprend 50 millions d’habitants, c’est la première économie d'Afrique avec près de 20% du PIB de l'Afrique subsaharienne, et l’un des pays les plus développé du continent. en raison de problèmes liés a l’apartheid et aux sanctions internationales, le pays a longtemps connu une croissance irrégulière, basée sur l’exploitation des ressources naturelles, ainsi que sur des bases financières importantes comme la bourse de Johannesburg, la première du continent africain. La question est alors de savoir comment la croissance agité de l'Afrique du sud agit sur le développement de celui ci ? pour cela nous allons étudier l’aspect économique du pays en deux parties, tout d’abord, l’étude de cette nouvelle Afrique du sud, ensuite, les problèmes restant a résoudre.

LA NOUVELLE AFRIQUE DU SUD

A) Analyse du changement

La croissance est une des composante du développement, mais il peut y avoir croissance sans développement. la croissance est calculée en monnaie constante, c’est l’évolution du PIB en % (Produit intérieur brut), seulement celui si n’est pas un indicateur de bien être. seulement voila, concernant l'Afrique du sud, il est certain que ce pays connait de graves problèmes, chômage élevé, délinquance, sida, tensions raciales, fossés béant entre les riches et les pauvres... cela est un constat après la coupe du monde de football, mais il est frappant de voir combien la situation c’est amélioré depuis l’époque ou l’apartheid était a son paroxysme. selon le doc1, nous pouvons prendre l’exemple de Diespsloot, cette ville situé entre Johannesburg et Pretoria, représente le progrès. Sous le régime de l’Apartheid, les noirs ne pouvaient littéralement pas bouger. une fois que leur liberté de mouvement n’as plus été limitée, les pauvres des quatre coins du pays ont pu se rendre dans cette région dans le but d'acquérir a un emploi. On y trouve des embouteillages aux heures de pointe et de nombreux petits commerces tel des coiffeurs, épiciers, bar et cybercafés. Par ailleurs, la cité incarne les problèmes de la nouvelle Afrique du sud, nombre de ses habitants vivent dans des baraques en tôles, sans eau ni électricité. Le chômage et la délinquance y est élevé, des conflits apparaissent entre autochtones et immigrés (pays voisins, contrées lointaine). le taux de chômage peut atteindre 40% selon la manière dont celui ci est calculé, une forte pénurie de compétence est aussi constatée. L’Afrique du sud a réussi a construire des stades flambant neufs dans de brefs délais, mais le gouvernement a terriblement tardé a réagir quand le sida a ravagé le pays faisant chuter l'espérance de vie moyenne de plus de 60 ans a tout juste 49 ans.

B) Analyse du niveau de développement

Le développement économique désigne les évolutions positives dans les changements structurels d'une zone géographique ou d'une population : démographiques, techniques,

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industriels, sanitaires, culturels, sociaux... De tels changements engendrent l'enrichissement de la population et l'amélioration des conditions de vie. C'est la raison pour laquelle le développement économique est associé au progrès, tel est la définition du développement, seulement celui ci se calcule via l’IDH (indicateur de développement humain), celui ci est calculé selon 3 critères : espérance de vie a la naissance, accès a l’éducation, PIB/habitants. L’IDH de l’Afrique subsaharienne en tant que région est passé de 0,365 en 1980 a 0,463 aujourd’hui, plaçant l’Afrique du sud en dessous de la moyenne régionale. les tendances de l’IDH permettent de souligner les écarts conséquents en matière de bien être et de potentialités qui contribuent a diviser notre monde interconnecté. Pourtant, les classements en fonction de l’IDH selon les pays sont relatifs, il dépendent des quartiles de répartition, très élevé, élevé, moyen, faible. l'Afrique du sud se classe a la 123ème place sur 187 pays considérés de ce fait nous pouvons constater que l’IDH n’est pas proportionnel au PIB. Par exemple, le Gabon se classe devant l’Afrique du sud, le Gabon est a la 106ème position. Cependant, l'Inde, pays membre des BRIC se situe a la 134ème place.

LES PROBLÈMES A RESTANT A RÉSOUDRE

A)La contribution de la croissance dans le développement de l’Afrique du sud

La croissance de l'Afrique du sud est assez particulière et a fortement varié ces dernières années. Aujourd’hui, Jacob Zuma est a la tête du pays depuis mai 2009, il a imprimé un tournant plus économique a sa diplomatie, il aspire notamment a ce que son pays devienne membre des BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) qui sont les pays émergents. La diplomatie sud africaine a montrer que la patrie de Nelson Mandela peut «jouer dans la cou des grands». comme indiquer dans le doc2, «reste que la persistance du dualisme social et économique de l'Afrique du sud contredit cette ambition». l’Afrique du sud est donc confronté a une séparation/conflit social et économique. il se traduit par la cohabitation d’une économe moderne (secteur financier, mines, tourisme, agriculture commerciale..) et d’une économie informelle respectant le format d’une vie européenne et d’une autre vivant dans l'extrême pauvreté (4,2 millions de sud africains disposent de moins 1 dollar par jour). Concernant les BRIC, comme l’expose l’hebdomadaire sud africain «city press», «il faut définir les secteurs d’activité a valoriser au sein du groupe des BRIC. l’Inde valorise sa technologie de l’information et de la communication, et la Chine met en avant son industrie de manufacture textile. l'Afrique du sud devrait se spécialiser dans l’exploitation de ses ressources minières.» En d’autre termes, l'Afrique du sud doit se spécialiser, c’est a dire dans le cas présent, admettre la théorie de l’avantage absolu d’adam simth, le pays se spécialise dans la production dans laquelle il dispose d’un avantage absolu en raison d’un cout par unité produite plus faible que ses concurrents. l'Afrique du sud bénéficie de grandes ressources minière ce qui est rare dans les pays développés et autres pays émergents. de ce fait, a la prochaine réunion des quatre puissances en avril prochain, le groupe officialisera sa nouvelle appellation BRICS, incluant donc l'Afrique du sud.

B) les problèmes a résoudre

L'Afrique subsaharienne a été durement touchée par la crise économique mondiale, son taux de croissance qui était de 5% en 2008 est tombé a 1,6% en 2009. Pourtant le

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continent se redresse grâce a la mise en oeuvre depuis une dizaine d’années de politique macro-économiques prudentes dans de nombreux pays et a l’attitudes avisées des gouvernements faces aux difficultés. la croissance devrait s'accélérer (4,5% en 2010 et 5,1 en 2011), mais a un rythme inférieur au taux tendanciels. Autrement dis, malgré une recherche fondamentale de redressement de la croissance des gouvernements, ceux la sont divisés quant aux choix politique et économique a effectuer, de ce fait, la croissance continuera a progresser mais a un rythme inférieur au taux tendanciels. Pour cela, la banque mondiale a considérablement accru son aide financière a la région durant l’exercice 2010. Seulement, l’Afrique du sud a besoin d’un taux de croissance supérieur a 5% pour résorber dans les années a venir le taux de chômage qui touche la population principalement noire du pays. A cause de la crise mondiale, la première puissance économique du continent a vu son taux de chômage officiel grimper de 24,5% en 2010 contre 22,3% en 2007, souligne l’OCDE. car en permettant un taux de croissance supérieur a 5% l’emploi serai donc en besoin de facteur physique de travail, la main d’oeuvre noire serai donc appropriée pour cela, et donc a trouver du travail. Cependant, même lors du boom, la croissance était de plus de 5% supérieur de 5% par an, le taux de chômage n’a baissé que de 4 points sur 4 ans. cela suggère qu’il faudra une croissance bien plus rapide pour espérer une réduction brutale du chômage. Pour cela, le gouvernement ne mise que sur une hausse du PIB de 2,3% en 2006 et de 3,6% en 2012, cela devrait donc tenter de privilégier une croissance créatrice d’emplois, selon les experts de l’OCDE. Le principe serai donc de favoriser l’exportation en luttant contre la surévaluation de la monnaie locale pour éviter que celle ci ne soit trop chère et trop indésirable pour les pays acheteurs, et d’encourager la concurrence en abandonnant certaines rigidités réglementaire du marché, en facilitant la transition entre l’école et le travail.

En conclusion, le développement du pays se fait donc petit a petit, le nom de nouvelle Afrique du sud a donc comme définition l'Afrique du sud d'après l'apartheid, cette Afrique du sud est un pays qui sort depuis peu de la crise mondiale, les prévisions en thermes de croissance sont bonnes et peuvent permettre une nouvelle vague d’embauche pour lutter face au fort taux de chômage de la population noire. «le faible taux d’emploi et le niveau extrêmes des inégalité sont considérés comme les problèmes économiques les plus aigus du pays». Pour finir, l’OCDE conseille également a l’Afrique du su de diminuer ses émissions en gaz a effet de serre, pour assurer une croissance durable et créer des emplois dans les domaines de l’économie verte.

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