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Economie Cours

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Par   •  17 Septembre 2016  •  Fiche  •  5 633 Mots (23 Pages)  •  636 Vues

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INTRO

A-18e Siècle : sciences économique en temps que démarche de réflexion: science relativement récente, née de la révolution industrielle. 18e siècle.

Les classiques : Ricardo, Adam Smith, Jb SAY, Malthus, …

Avant : les physiocrates, les mercantilistes.

B-19e siècle : SCIENCE ÉCONOMIQUE : Sciences sociales, préoccupation du 19e siècle

Utilisation de mathématiques, modèles scientifiques (courant du 19e S)

Volonté de faire de l’économie quelque chose de scientifique.

C- Une science traversée par des clivages :

1- Courant classique (18 et 19e siècle) et néo classiques (20 et 21e siècle) pensée libérale: point central sur la vision de JB SAY : la loi des débouchés. Tout part de l’offre. Donc politique d’offre pour le bien de l’économie. Rationalité des acteurs économiques (homo oeconomicus) : La théorie des rendements décroissants. Ecole de Chicago (Néo classique).

2- Courant Keynésien (20e siècle) : tout par de la demande. C’est le cœur, le point de départ du développement économique. Inciter la demande effective, des ménages, des biens de production des entreprises, des exportations. L’ETAT doit susciter cette demande. Intérêt pour les autres sciences : histoire, sociologie, …

3- le courant marxiste (19e siècle): Valeur du travail

4- le courant hétérodoxe : tous les économistes inclassables. Issues généralement des pays en voie de développement (Amartya SEN)

D- Clivage entre classique/néo classique et Keynésiens.

1- Postulats Classiques et Néo classiques:

  • Rationalité des acteurs économique
  • Equilibre spontané des marchés (biens et service, du travail, monétaires), autorégulation des marchés grâce au prix qui est exogène, qui est la variable, point de départ. Utilité / dés utilité. L’addition des comportement individuels sert forcement l’intérêt général. (la main invisible).
  • Le salaire est un coût.
  • La rationalité : les agents économiques sont censés être rationnels, c'est-à-dire qu’il peuvent établir un ordre de préférence  et qu’il dispose d’une information complète et sans coût.
  • La rareté : en effet, il n’y a de biens économiques que s’ils sont rares.
  • « La main invisible » d’Adam Smith : en effet, c’est grâce à la volonté des individus de produire pour s’enrichir que la production et donc les possibilités de consommation s’accroissent.
  • Les agents économiques ont des besoins stables, qui ne changent pas
  • La maximisation du profit : les individus rationnels cherchent à maximiser leur utilité, c'est-à-dire maximiser leur satisfaction et à minimiser leur coût.
  • Les agents économiques évoluent dans un marché à concurrence pure et parfaite
  • La consommation dépend du prix

2- Postulat des keynésiens :

  • La rationalité est limitée. Parce que l’homme est un animal, comportement moutonnier : pas de rationalité.
  • L’intérêt général n’est pas la somme des intérêts individuels. Ce qui est valable sur le plan micro ne l’est pas sur le plan macro économique. Il faut raisonner au delà de l’entreprise (macro économique) : agrégat, PIB, PNB
  • L’économie se fait à court terme. Il faut raisonner sur le court terme. Il faut réagir vite et dans l’instant. Créer de l’emploi, aider à l’investissement, politique de grands travaux, interventionnisme de l’E.
  • Raisonnement en terme de circuit. La consommation des uns fait le revenu des autres. Le salaire est un revenu.

  • La substitution aux individus des classes sociales, définies par leurs fonctions économiques. Pour la consommation, il étudiera des ménages.
  • Les agents économiques évoluent dans un monde d’incertitude, qui n’est pas dirigé par un « main invisible » : l’Etat doit intervenir dans le marché.
  • Les anticipations : rôle primordial dans ce monde d’incertitude, capacité du consommateur a anticipé.
  • La consommation dépend du revenu

E- Le marché, une construction théorique.

  1. Construction théorique inventée par les néo-classiques. L’idéal est un marché fondé sur une concurrence pure et parfaite (CPP).

  1. 5 règles de CPP
  • l’atomicité : beaucoup d’offreurs et bcp. de demandeurs, pas de monopole, pas d’oligopole,  pas d’oligopsone, pas de monopsone
  • Homogénéité du produit : seul le prix différencie le produit
  • Transparence des informations : pas de brevet, pas de droit de propriété.
  • Libre entrée sur le marché : on ne peut empêcher quelqu’un d’exercer ou de produire.
  • La parfaite mobilité des facteurs de production (travail et capital) : pas de barrière sur le temps de travail, les qualifications, pas de restriction à l’épargne ou prêt bancaire.

THEME N°1 : La mondialisation et les enjeux économiques.

A- Libre échange, protectionnisme, un débat reçurent autours des bénéfices et des couts de la mondialisation.

  1. Les effets attendus du libre échange et de la DIPP (division internationale des processus productifs).
  2. Adam SMITH 18e, le libre échange est la meilleure solution qui soit ; il se justifie par la théorie des avantages absolus ou coût absolu. Un produit, deux pays, comparer les couts de production. Il est préférable que le pays qui a les plus bas prix de production produise et l’autre achète.
  3. RICARDO, deux pays, deux produits, pas d’avantage absolue. ??? Couts relatif de production. Avantage comparatif.

                                        RU                        Portugal

DRAP                100 h                        90 h

VIN                        120 h                        80 h

Couts relatif Drap : vin                0,83                        1,12

Couts relatif vin drap                1,2                        0,88

Donc : La spécialisation et division internationale du travail. Et rapprochement vers une « même opulence ».

  1. Théorème HOS (Heckcher, Ohlin, Samuelson)  Années 60 : Théorie de la dotation en facteur de production. L’avantage relatif est lié à la quantité de facteur de production dans un même pays. Un pays a plutôt intérêt à se spécialiser dans un domaine où il possède déjà une bonne dotation en capital, (terre, main d’œuvre, sous sol,). L’échange international entrainera une convergence de développement mondiale car convergence des rémunérations des facteurs de productions. Pas de mobilité du facteur de production.
  2. Nouvelles théories du commerce internationales : (Krugman, néo keynesien) Inversion du raisonnement Ricardien. C’est la spécialisation qui permet la compétitivité. L’avantage comparatif se construit a parti de la spécialisation. Il faut mettre en place des politiques commerciale stratégique (Etat) pour construire les avantages relatifs. Développement du rôle étatique : libre échange assisté.

  1. le protectionnisme, une alternative ?
  1. 19e siècle (F. LIST) critique des thèses libre échangistes : Essentiellement au service de la suprématie GB. Pas hostile au libre Echange mais besoin de mettre en place un protectionnisme temporaire éducateur car certain pays ne sont pas apte (pays des industries dans l’enfance) Ces pays peuvent rattraper leur retard de compétitivité grâce à des effet d’apprentissage et des gains de productivité
  2. Les outils du protectionnisme : mis en place de barrière tarifaires - droits de douane (plus trop fréquent) - ou non tarifaires – quotas, embargos, normes, la monnaie (manipulation du taux de change)
  3. le protectionnisme stratégique temporaire:
  • Keynes propose une réhabilitation d’une démarche protectionnisme car le Libre échange (L.E) n’a pas que des bienfaits. Du fait de l’ouverture des économies (économie ouverte) cela créé une contrainte extérieure (les politiques éco sont limitées par l’impact sur les comptes extérieures, la balance commerciale). Propension marginale à épargner = 0,2 (20%) donc le k= 1 :0,2 = 5. Dans une économie fermée pas de fuite donc multiplicateur keynésien efficace. Pour Keynes l’épargne est une fuite d’argent, les revenus ne circulent pas. Il faut donc un investissement important et un faible épargne pour la circulation de l’argent. Les politiques de relance keynésiennes peuvent donc proposer une sorte de protectionnisme.
  • N.KALDOR : il faut protéger les industries vieillissantes, faciliter la reconversion, et retrouver de la compétitivité, mais rien d’autre.
  • Economistes qui s’appuis sur le fait que la concurrence est imparfaite donc il faut relâcher les théories néo classiques : la spécialisation est … mise en place de politiques commerciales stratégiques qui peuvent passer par du néo protectionnisme (subventions) soutien de l’Etat des secteurs monopolistiques, hausse des couts d’entrée, monopoles naturel, mise en place des barrières à l’entrée des concurrents étrangers.

CONCLUSION (libre échange et protectionnisme)

L’échange international est sur une logique de complémentarité et de spécialisation étatique. Or la réalité de échanges internationaux ne colle pas à la théorie économique. Les échanges aujourd’hui se font intra branche et intra zone et intra firmes (entre filiale d’un même groupe). La mondialisation est en fait une fausse réalité. La DIPP. Depuis la crise 2007-08 baisse des échanges internationaux. +7% dans les échanges +3% en 2008 et -12% en 2009. Analyse de dé mondialisation. Malgré cela les instances mondialistes continue de prôner le L.E (FMI, OMC)

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