Développement durable et innovation dans les transports
Analyse sectorielle : Développement durable et innovation dans les transports. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Xeloate • 1 Avril 2014 • Analyse sectorielle • 456 Mots (2 Pages) • 866 Vues
Répondre aux besoins du présent sans compromettre la possibilité, pour les générations futures, de pouvoir répondre à leurs propres besoins : telle est le concept du « développement durable ». Défini par Mme Brundtland en 1987
Cela inspire différentes initiatives en France cherchant à concilier développement économique et social et qualité de l’environnement.
L’idée est de lier le développement économique avec le maintien des équilibres écologiques, de façon à éviter les nuisances irréversibles sur la santé et sur l’environnement pour les générations à venir et l’épuisement des ressources naturelles non renouvelables, l’énergie fossiles.
Nous allons aborder le thème du développement durable et l’innovation dans les transports.
L’utilisation de véhicules électriques permet de réduire certaines externalités, à savoir la pollution de l'air, qui engendre des coûts sur le système de santé.
Le bruit qui entraîne des pertes sur les valeurs locative et donc un manque à gagner pour les entreprises et donc aussi pour l'état via les impôts.
Les changements climatiques provoqués par la pollution occasionnent des coûts liés à l'augmentation de la température.
Par exemple le libre service de velib sur la ville de Paris en raison des pic de pollution, à engendré des couts.
En vue des externalités négatives causées par les véhicules thermiques il est nécessaire de s'interroger sur des alternatives possibles en matière d'énergie pour l'automobile.
L’électricité apparaît comme une solution envisageable en matière de transport.
D’un point de vue économique, rouler à l’électricité n'engendre pas de coût lié à l'augmentation de la température.
D’un point de vue écologique, il s’agit d’une énergie qui n’entraîne aucune émission de co2.
Par ailleurs, la pollution sonore est réduite.
Mais cette énergie à encore du mal à décoller, en vue des infrastructures dédié absente, le consommateur n'est donc pas en confiance.
Dans cette catégorie il y a aussi les voitures hybrides qui sont semi électrique et thermique.
Afin de réduire les nuisances écologiques et les coûts qu’engendrent les voitures thermiques, l'État décidé de se mettre à l'automobile verte en mettant en place des mesures visant à favoriser les véhicules qui polluent moins.
Un système de bonus-malus à était instauré en 2008 pour inciter les consommateurs à investir dans les véhicules à faible émission de co2 en les récompenses avec des primes, pour les véhicules vert, et pénaliser les consommateurs qui opte pour des véhicules polluant.
Les aides de l’État à l’acquisition de véhicules sont justifiées sur différents points :
Tout d'abord sur le point politique, l’état sensibilise la population au sujet du développement durable et à l'utilisation d'énergie
...