Chapitre 4: l’ouverture des économies aux échanges internationaux.

Chapitre 4: l’ouverture des économies aux échanges internationaux.

L’ouverture des économies a permit une forte progression des échanges internationaux notamment depuis la 2nd GM. Ces échanges conduisant à des règlements internationaux c’est à dire à des règlements en monnaie étrangère.

I) la mesure des échanges internationaux de biens et services.

A) Le solde du compte des transactions courantes

Le compte des transactions courantes est un compte qui retrace l’ensemble des échanges entre la France et le reste du monde.

Il se décompose en 4 parties:

- Les opérations sur biens ( donnant lieu à l’établissement de La balance commerciale)

- Les revenus des facteurs de production (salaires, dividendes, intérêt etc..).

- Les transferts courantes (contributions aux ressource des budgets communautaires, dons,ect..)

- Les opérations sur services

Les soldes de la balance des transactions courantes ( débit crédit ) est excédentaire lorsque les exportations de biens et services ainsi que les revenus et les transferts courants reçus de l’étranger sont supérieurs aux importations, aux revenus et aux transferts courants versé à l’étranger. Dans le cas contraire, elle est déficitaire. Une nation qui enregistre un excédent du compte des transactions courantes est en situation de capacité de financement: elle produit plus de biens et services qu’elles n’en consomme et/ou invertit (c’est le cas de la Chine et l’Allemagne en 2012). A l’inverse, un pays qui enregistre un déficit du compte des transactions courantes est en situation de financement. Il consomme et investit plus qu’il en produit.

B) Le degré d’ouverture d’une économie ou d’un secteur d’activité.

1. Le degré d’ouverture d’une économie

On mesure le taux de participation d’un pays au commerce international de biens et de services grâce ba son degré d’ouverture.

Degré( où taux) d’ouverture= [(exportations +importations/2) / PIB] * 100

Le degré d’ouverture des première puissance mondiale est très variable selon les pays et ne dépend pas uniquement de leurs poids en volume dans le commerce international. Ils est aussi fonction de leurs tailles et du degré de spécialisation de production. Un pays faiblement diversifié aura d’avantage recours aux importations pour combler les besoins de sa population auquel il ne peut répondre avec sa seule production nationale.

2. le degré d’ouverture d’un secteur d’activité. Les services commerciaux sont relativement à l’abri de la concurrence internationale: ils représentent à peine 20% des échanges mondiaux en 2012 alors que le commerce international de m/ses représentes plus de 80%. Toutefois les échanges de services se sont considérablement développés: ils ont été x par 8 entre 1987 et 2012.

II- L’influence des taux de change sur les

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