Analyse du travail au Québec

ADM 1015

TRAVAIL NOTÉ 3-Série C

1.

Depuis la colonisation du Québec, la province a connu de nombreux changement au niveau du travail. Il a constamment été modifié afin de faciliter la tâche des employés et optimiser les techniques de production. Les gestionnaires en ressources humaine ont dû adapter leurs méthodes prise de décisions face aux différents besoins des nouvelles générations. Les conditions de travail n’ont pas toujours été faciles pour les jeunes. Cependant, on peut observer une amélioration marquée pour certains et l’apparition de divers organismes qui les supportent.

La population active des jeunes entre 15 et 24 ans est de 980 900 et leur taux d’emplois se situe à 57.7%, ce qui représente 274 100 emplois à temps plein et 291 700 emplois à temps partiel. Les jeunes de cet d’âge qui sont en emploi constituent 15.2% de la population active totale. Ils travaillent principalement dans les secteurs des services à la clientèle et ouvrier. Le salaire minimum est une réalité pour 121 300 de ces jeunes. Le salaire minimum fixé au Québec en 2012 est de 9.90 dollars par heure travaillé. En 2011, une fois de plus, l’inflation était plus élevée que la hausse du salaire minimum au. La province se classe 7ème au niveau du Canada en ce qui concerne le montant de ce salaire. La plupart de ces travailleurs sont dans une position d’emplois permanente et sont non syndiqué. Très peu ont la chance de travailler au public (61 400) et la grande majorité œuvre au privé (486,400). Beaucoup de ces jeunes travail de nuit et de soir. En vieillissant, ont peut voir une tendance dans l’établissement d’un horaire de travail plus normal avec plus d’heures et une meilleur rémunération. Les jeunes, ont de multiples dispositions légales en matière d’équité à leur disposition. Il y à la Commission de l’équité salariale, la commission canadienne des droit de la personne, les multiples syndicats, la CSST, la commission des normes du travail et plusieurs autres. Chaque cas est souvent particulier et nécessite l’attention d’un de ces organismes. Les syndicats sont la plupart du temps inexistants pour ces jeunes. En 2011, seulement 127 100 sont syndiqué alors que 420 600 ne le sont pas. Il est donc important qu’il soit bien informé et que l’information leur soit disponible.

En regardant les données de statistique sur la population active du Québec, il est évident que les gestionnaires seront confrontés au défi que représente le départ massif des travailleurs plus âgés qui font partie de la génération des « Baby-Boomers ». La population active âgé entre 24 et 44 ans se situe à 2 101 000, pour les 45 à 54 ans 1 257 100 font partie de ce groupe alors que 2 236 800 font partie des 55 ans et plus. Le taux d’emplois chez la population des 25 à 44 ans est de 81,7%, pour les 45 à 54 ans le taux est de 80,2% et les 55 ans et plus se situe à 29.6%. De tous ces travailleur, dans la tranche de 25 à 44 ans 1 518 800 travail à temps complet, de 45 à 54 ans le nombre se situe à 892 700 et pour les 55 ans et plus 508 300. En ce qui concerne le travail à temps partiel, les 25 à 44 ans occupe 198 600 emplois, pour les personnes entre 45 et 54 ans le chiffre se situe à 115 600 et le groupe des 55 ans et plus possède 153 700 emplois de ce type. Les syndicats sont des organismes important pour la protection des droits des travailleurs et on dénombre 624 200 employés entre 25 et 44 ans qui sont syndiqué. La tranche d’âge de 45 à 54 ans possède 378 300 emplois syndiqué et le nombre pour les 55 ans et plus se situe à 209 900. La sécurité d’emplois est un facteur souvent considéré par les travailleurs qui recherche souvent une position permanente. La quantité de poste permanent détenu par les 25 à 44 ans est de 1 317 000, pour les 45 à 54 ans 763 500 et les 55 ans et plus 433 000. En ce qui concerne les positions temporaire, la tranche d’âge des 25 à 44 ans en possède 204 800, les 45 à 54 ans 75 400 et population de 55 ans et plus 67 100. Les travailleurs de 25 ans et plus possède les mêmes ressources en matière d’équité d’emplois que les jeune nommé précédemment.

La population active présente dans la tranche des jeunes de 15 à 24 ans se situant à 980 900 est considérablement très faible comparé aux autres groupes. Beaucoup sont étudiant et ne travaillent pas pendant leurs études. Ce qui explique leur taux d’emplois de 57.7%. La majorité des emplois sont à temps partiel 291 700 alors que seulement 274 100 travail à temps plein. Le taux de syndicalisation chez les jeunes est beaucoup plus faible que les statistiques de ses pairs plus âgés et se situe à 127 100. Plusieurs jeunes occupent des emplois permanents (377 000) alors que seulement 170 800 sont à temps partiel. Ces données sont similaires aux autres groupes. Plusieurs organismes peuvent aider les jeunes pour les dispositions légales en matière d’équité d’emplois. Cependant, avec leur manque d’expérience sur le marché du travail, l’information peut être parfois difficile à trouver alors que les plus âgés sont plus habitué et ont plus de faciliter à trouver l’information. Les données démontrent que les gestionnaires seront pris d’ici quelques années avec un départ massif de travailleurs et une faible relève. Ils devront appliquer de nouvelles techniques pour attirer et retenir ces nouveaux venus sur le marché du travail.

2.

Les avantages liés au travail sont priorisés différemment par le personnel et se diversifient avec les générations mais les bases sont souvent identiques. Le salaire, les avantages sociaux ainsi que les conditions de travail sont au sommet des priorités pour les jeunes. L’employeur doit attirer et retenir son personnel. L’attraction et la rétention des employés est une étape cruciale au niveau de la dotation car elle permet à l’organisation de se doter d’un large bassin de candidat et permet de conserver les employés talentueux au sein de l’organisation. L’employeur doit être visible, reconnu et attrayant. Les gestionnaires peuvent offrir des rétributions généreuses pour attirer de potentiels candidats comme un bon fond de pension, plus de journée de congés et beaucoup plus d’avantages sociaux. De plus en plus de travailleurs priorisent la famille sur le travail donc pour attirer les jeunes, la création d’un programme d’aide à la famille ou des journées spéciales de congés consacrés à la famille pourrait être offert. Un des aspects important pour la rétention de l’employé est son accueil

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