Étude des Fables de Jean de La Fontaine

Le XVII ° siècle, parfois également appelé le grand siècle, est considéré comme l’époque des moralistes, comparable aux humanistes du temps de la renaissance. La littérature pose en effet un regard critique sur la nature humaine et la société qu'elle vise à améliorer. Dans l’étude des Fables de Jean de La Fontaine, un livre publié aux éditions Hachette livre en 2006. L’auteur, un fabuliste ainsi qu’un grand poète français y dénonce les travers de la société de son temps. Afin de démontrer cette caractéristique, l’analyse suivante abordera les thèmes de l’injustice ainsi que les défauts de la société présents à l’époque.

Tout d’abord, pour réussir à comprendre les raisons pour lesquelles l’auteur critiquait la société d’autre fois, il est important de savoir qu’au XVII °siècle l’injustice régnait. C’est-à-dire qu’il n’y avait pas d’égalité sociale opposant souvent le roi, les nobles ainsi que les bourgeoises entre eux. À travers ses fables, Jean de La Fontaine dénonce en effet l’injustice mettant en opposition les différentes classes sociales de la société : «La raison du plus fort est toujours la meilleure». Cette métaphore, tirée de la fable "le loup et l’agneau" p. vers. 01, représente bien le message qui est une satire de la hiérarchie sociale de l’époque dans laquelle il vivait. L’auteur veut donc dire par là que la force et la supériorité (de classe, de statut) l’emportent sur tout le reste. Les plus faibles et pauvres se font alors malheureusement dominer par les plus forts et les plus puissants qu’eux. L’inégalité sociale est de plus présente dans la fable "le chêne et le roseau" (p…) L’écrivain dénonce également l’injustice présente dans la société par l’absolutisme royale de droit divin mise en place et contrôlé par le roi Louis XIV au XVII° siècle.

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