Fiche de lecture de Un monde de violences : l'économie mondiale 2015-2030

FICHE DE LECTURE

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À PROPOS L’AUTEUR :

Titulaire d'un doctorat en économie (1974), Jean-Hervé Lorenzi est reçu premier à l'agrégation des facultés de droit et sciences économiques en 1975. Jean-Hervé Lorenzi (Né le 24 juillet 1947) est professeur à l'université Paris-Dauphine depuis 1992 (Master 218 Assurance et gestion du risque), président du Cercle des économistes, conseiller du directoire de la Compagnie Financière Edmond de Rothschild depuis 2000, membre du Conseil d’analyse économique depuis 1997. Parmi ses ouvrages :

• Une crise si profonde, Politique internationale, 2009
• Retraite : la lutte des âges, Éditions Robert Laffont, 2004
• Le choc des populations : guerre ou paix ?  Fayard, 2010
• L’avenir de notre liberté. Faut-il démanteler Google... et quelques autres ? Eyrolles, 2017

RESUME :

    Un monde de violence anticipe que le monde va connaitre une trajectoire économique extrêmement nouvelle qui n’a aucun rapport avec ce que nous avons connu, six principales contraintes qui affectent et affecteront l’économie mondiale, elles risquent de freiner, voire empêcher la croissance des pays empêtrés dans la crise.

TROIS VIOLENCES POUR AUJOURD’HUI :

Elles sont en réalité du passé, mais elles vont se développer sans connaitre beaucoup de moyens de les contrôler. C’est évidemment la financiarisation, par exemple 800 mille milliards de produits dérivés et ceci va poursuivre. C’est les inégalités qui se sont accrus et dont chacun pense qu’elles sont à un moment une sorte des difficultés pour maintenir des cohérences internes dans notre société. Et puis c’est l’origine même de la crise, et à dire même le fait que près de 20% de la valeur ajoutés dans les pays occidentaux (OCDE) est passé vers les pays émergents, ce transfert d’activité baptisé désindustrialisation, délocalisations est extrêmement compliqué de réinvestir d’une manière forte pour recréer l’équivalence de ces 20% qui ont fait disparu  

TROIS VIOLENCES POUR DEMAIN :

A ces trois contraintes qui sont celles au fond des dernières années viennent de surajouter trois nouvelles contraintes, s’est évidemment le vieillissement de nos populations qui signifie plus de coûts collectifs de la retraite et de la santé, ça signifie aussi une peur des sociétés vieillissantes à la fois d’innover mais aussi d’investir. Le deuxième sujet est du progrès technique, il y on a une sorte de ralentissement de ce progrès qui a été exceptionnel dans les années 80 90 …  Et tout c’est en train de ralentir. Le troisième problème c’est le fait que les pays développés ont besoin d’investir d’une manière massive et donc d’épargner d’une manière massive, cependant il y deux difficultés par rapport à ça, la première c’est que l’épargne venait très largement des pays émergents, ceci va en tous cas diminuer, et puis les sociétés vieillissantes sont averses au risque et qu’elles ne souhaitent pas investir dans des produits risqués.

ANALYSE DU CHAPITRE 4 : Le choc de la désindustrialisation

       Avant d’entrer directement dans ce chapitre on définisse deux termes importants pour mieux comprendre ce résumé le premier est la désindustrialisation qui est tout simplement une diminution de la part de l’industrie dans le PIB et aussi de la valeur ajouté du secteur de l’industrie avec un transfert de l’emplois de l’industrie vers d’autres secteurs, Le deuxième est la délocalisation qu’on peut le définir comme un transfert d’activités, de capitaux et d’emplois d’une entreprise dans des autres lieux afin de bénéficié d’un environnement économique plus favorable, la délocalisation peut êtres entre pays et aussi entre zone .

1995-2005: DESINDUSTRIALISATION ET DELOCALISATION

 D’une manière bref le monde a connu au bout de  cet intervalle de temps un changement  dans le secteur de l’industrie , en générale une baisse de la valeur ajouté industriels et de la part de l’emplois du secteur industriels dans l’ensemble d’emplois pour les pays occidentaux ( Les Etas unis, France , Allemagne, canada , la grande bretagne) vis-à-vis une hausse de ces valeurs pour des pays qui sont considérer en  voix développement par ex ( La Chine , Inde , Australie , Brésil etc.) sans s’oublier que  les flux sortants d’IDE( investissement direct à l’étrangers )  provenant  des pays développer vers des pays en développement  devienne gigantesque .

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