Devoir économie BTS numéro 2
Dissertation : Devoir économie BTS numéro 2. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mousszerolag • 13 Décembre 2016 • Dissertation • 615 Mots (3 Pages) • 1 149 Vues
Depuis quelques années, les pays d'Afrique connaissent des investissements massifs qui participent à leur croissance économique. En effet, cette croissance économique qui suppose l'augmentation de la production et sa diversification dans le long terme, garantit une croissance de la quantité de biens et services tant privés que publics à la disposition des populations, ce qui est une dimension de la qualité de vie. Cependant, le bien-être suppose aussi la satisfaction d'autres aspirations plus qualitatives tel que l'alphabétisme, l’espérance de vie, le PIB par habitant mais également écologiques comme par exemple des préoccupations environnementales ou éthiques, ainsi le souci de la justice sociale, la lutte contre la pauvreté. Si une relation peut être établie entre ces deux notions, on peut néanmoins se demander si celle-ci est univoque ou équivoque. La croissance économique semble constituer une condition nécessaire et suffisante à l'amélioration du bien-être. Cependant, elle n'a pas permit d'améliorer les conditions de vie (voir tableau des IDH). Dans une première partie, nous exposerons les facteurs de la croissance africaine. Ensuite, nous analyserons les raisons pour lesquelles les investisseurs étrangers choisissent de s'implanter en Afrique et l'incidence attendue et effective des IDE sur la croissance africaine. Enfin, nous montrerons que malgré une croissance positive, l'Afrique conserve tout de même un retard conséquent sur le plan du développement humain.
La croissance économique est une condition nécessaire an développement. Les investissements vont permettre l’accroissement de la production et de la consommation, ce qui permet un meilleur niveau de vie moyen. Les techniques de production s'améliorent en même temps que la diversité et la qualité des biens produits. Les gains de productivité entre la baisse des prix vont permettre une amélioration des conditions de travail (moins pénibles grâce à l'utilisation de machines, dans les nouvelles activités de type tertiaire), une réduction du temps de travail et donc une meilleure qualité de vie. Cela entraîne une diversification de la consommation (loi d'Engel : lorsqu'il y a une augmentation des revenus, la part de dépense dans l'alimentation des ménages diminue) et utilisation accrue de service, ce qui autorise une meilleure qualité de vie et l'allongement de l'espérance de vie. Cet enrichissement vertueux a été décrit par W.W Rostow, avec les 5 étapes de croissance, s'achevant par « l’ère de la consommation de masse ». Le document 1 confirme nos dires car il explique que bien que l'Afrique se développe, elle a besoin de la complémentarité avec la croissance pour permettre une croissance bénéfique. Par exemple, elle doit mettre en œuvre des infrastructures et des services pour pouvoir mener à bien son projet de croissance. On note également que la population est une ressource principale à la croissance. L'Afrique a la croissance démographique la plus élevé et la plus rapide du monde. Elle doit donc se focaliser sur ce genre de facteur pour permettre une croissance vertueuse. L'Afrique a les moyens de permettre une croissance car les investissements étrangers sont très importants. C'est notamment ce que souligne le document 4 lorsqu'il fait mention des opérateurs de mobiles des pays développés, tel que Orange par exemple, et leur volonté de se tourner vers le marché mobile africain. Cette opportunité permettrait une source importance des rentrées fiscales pour les états africains. Elle permettrait également la création d'emplois. C'est une plus valu pour la croissance africaine. la Le document 5 confirme que le marché africain est très prometteur puisque les grands industriels cosmétiques s'affrontent pour s'accaparer le plus de marchés. Dans une approche libérale de l'activité économique dans le cadre du marché, Adam Smith montre que l'économie de marché, grâce à la main «invisible» et à la recherche des intérêts privés par les homo œconomicus, qui sont les agents économiques, mènent automatiquement à l'intérêt général.
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