Notion de point mort habitat
Fiche : Notion de point mort habitat. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lawwest • 21 Janvier 2016 • Fiche • 335 Mots (2 Pages) • 1 175 Vues
L’impact de la construction sur la démographique
et la notion « Point Mort » comme minimum utile au maintien du niveau de population
La notion de « point mort » et « d’effet démographique » de la construction ➔
Le renouvellement du parc ou, plus exactement, les sorties nettes du parc, par démolition, changement d’usage ou modification structurelle du bâti (soit regroupement de petits logements, soit déstructurations de grands logements). Ce phénomène nécessite une production de compensation particulièrement perceptible lorsqu’il s’agit de la démolition du parc obsolète. Il se calcule en défalquant de la construction neuve, la variation du parc de logements sur la période considérée.
La variation du nombre de logements vacants et de résidences secondaires qui prend en compte la fluidité des échanges (rotation) ou la variation positive ou négative de la vacance pour diverses raisons (pénurie ou excès d’offre, préparation de démolition, résorption de l’inconfort, …). Elle se calcule en mesurant la différence de stock de logements vacants ou résidences secondaires entre deux dates
le desserrement, qui traduit l’impact de la baisse de la taille moyenne des ménages sur le nombre total de ménages et qui est en général d’autant plus rapide que la taille initiale est élevée. Ce phénomène est celui qui pèse le plus lourdement sur le territoire de Sénart dans l’utilisation de la production neuve. A population constante, le desserrement induit un besoin accru en résidences principales Il se calcule en soustrayant le nombre de résidences principales de début de période au nombre de résidences principales résultant de la taille moyenne des ménages de fin de période appliquée à la population des résidences principales de début de période [(pop1990/TMM1999)-RP1990 = besoins en résidences principales supplémentaires résultant du desserrement de la population déjà en place]
Les trois premiers éléments constituent les composantes du « point mort », traduisant les besoins endogènes du territoire.
Enfin, reste le nombre de logements qui correspond à la population supplémentaire à l’échelle d’un espace donné, constructions ayant donc un effet démographique (par le jeu des soldes naturels et migratoires).
...