Les publics devoir
Dissertation : Les publics devoir. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar fabien.martinez • 25 Janvier 2016 • Dissertation • 778 Mots (4 Pages) • 883 Vues
La pauvreté n’a pas le même sens, la même définition suivant la société dans laquelle on vit, être pauvre en Afrique sera diffèrent d’être pauvre en France.
Dans notre société française, de pays développé, la pauvret ne renvois pas qu’a un constat économique et financier, c’est aussi un statut sociale. En effet , les politiques d’action sociale, vont donner a une parti de la population un statut d’assistée. Cela renvoi l’individu a une image négative de lui-même La personne devient alors dépendante des autres. La mise en place des minima sociaux tels que le rmi accentue cette notion, on parle même de RMIstes.
Au départ les pauvres étaient des marginaux, des gens exclu du système, aujourd’hui les pauvres font parti du système, ils se fondent dans la société.
Les inégalités sociales se creusent et le marché de l’emploi étant de plus en plus saturé, cela a favorisé l’éclosion de nouveaux pauvres. Ils s’agit de travailleurs avec des salaires bas ( smic ) ou a temps partiel, ce qui les maintient dans une situations de précarité.
On retrouve aussi les familles monoparentale, 1 mariage sur 3 se finissant en divorce, beaucoup de femmes se retrouvent seule a élever leur enfants.
Enfin les jeunes qui sont touchés de pleins fouet et qui n’ont pas la chance de voir se mettre en place la solidarité familiale se voient en grande difficultés.
Ce phénomène met en échec notre société. La pauvreté met a jour l’échec de l’état providence. En effet les inégalité sociale se creuse entre les riches et les pauvres, alors que toutes les politique publique depuis des années ont pour objectifs le constat inverse. On estime a 2millions le nombre de pauvre dans notre pays, la précarité est donc bien installé dans notre société. Les pauvres sont de plus en plus propre et maintenu dans cette situation par des mesure prise par les politique RSA notamment. et les riches continue de s’enrichir.
La solidarité commune figure de l’Etat providence est remplacé par la solidarité familiale, qui permet a certains pauvres de ne pas devenir SDF et cela malgré les mesures politiques misent en place.
En effet les SDF ne sont plus que des marginaux, on retrouve des chômeurs, des travailleurs avec des contrat précaires et de salaire bas, des femmes avec enfants et dans une moindre mesure des personnes âgées.
Pourtant des dispositfs ont été misent en place pour combattre la pauvreté et évité l’exclusion.
L’accès au travail, avec des formations spécifiques, des contrats aidé, pour lequel l’employeur reçoit des aides financière. Mais cela n’a pas eu l’effet escompté, l’accompagnement de ces personnes a été laissé des coté, et le coté sociale pas assez pris en compte.
Les politiques ont aussi mis en place des aides aux revenus comme le RMI , qui a pour but d’aide les personnes qui ont des ressources faible en leur garantissant un minimum de ressource et une couverture sociale. Or se « filet de sécurité » se révèle insuffisant pour permettre a l’individu de sortir de la pauvreté et de revenir sur le marché de l’emploi. De plus cette mesure n’inciterait pas a chercher de l’emploi, car elle permettrait de faire vivre très modestement des individu sans qu’ils est besoin de travailler.
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