Le monde selon Monsanto

Le monde selon MONSANTO

Les 20 idées principales du documentaire :

1. Monsanto, multinationale américaine née en 1901 à Saint-Louis, dans le Missouri, en premier spécialisée dans l’industrie chimique, elle est devenue en un peu plus d’un siècle le leader mondial des biotechnologies, en particulier sur le marché des organismes génétiquement modifiés (OGM).

2. Monsanto détient les brevets de 90 % du maïs, du soja, du colza, ou du coton transgéniques cultivés dans le monde.

3. Par le biais de rachats successifs, elle est en train de devenir le premier semencier de la planète et à terme, c’est la chaîne alimentaire toute entière qu’elle pourrait contrôler.

4. Monsanto a commencé en premier avec Round Up, son herbicide "total" (longtemps dit 100 biodégradable »)

5. Monsanto a aussi créé d’autres produits dangereux comme les PCB, l’agent orange, l’aspartame et les hormones de croissance (interdites en Europe et au Canada).

6. Monsanto est dite comme une firme d’agriculture durable, aux rendements supérieurs, respectueuse de l’environnement.

7. Les PCB ont été l’un des produits phares commercialisé par Monsanto à l’époque et on apprend que leur toxicité a été très tôt connue par l’entreprise qui s’est bien gardée de diffuser l’information.

8. La réalisatrice se rend en Alabama où se trouvait une entreprise à Monsanto, 40% de la population majoritairement noire est atteinte de cancer.

9. En 2002, Monsanto verse une amande de 700 millions de dollars, pour avoir caché la dangerosité des PCB à la population. Car auparavant elle déposait 32 000 tonnes de ces déchets contaminés dans une décharge à ciel ouvert, située au cœur de la communauté noire de la ville.

10. Elle démontre que, dans le dossier des OGM, les réglementations américaine et européenne ont été directement influencées, sans validation scientifique valable, par des alliés de la firme placés à des postes-clé au sein d’une administration tout sauf indépendante. Elle expose les stupéfiantes méthodes utilisées par la multinationale pour discréditer ses adversaires, mais aussi intimider les agriculteurs à domicile.

11. D’après l’un des chercheurs interviewés dans le reportage, la contamination par les PCB est planétaire et on en retrouve des traces jusque sur la banquise…

12. L’Agent orange est le surnom donné au plus utilisé des herbicides employés par l’armée des États-Unis lors de la guerre du Viêt-Nam, en particulier entre 1961 et 1971. Notamment en raison de la présence de dioxine, ce défoliant chimique est responsable de plusieurs maladies chez les personnes ayant eu affaire à cet herbicide. En raison de la stabilité de la dioxine, les générations suivantes au Viêt-Nam vivent encore en présence de ce produit cancérigène et tératogène, occasionnant des maladies diverses, des cancers et des malformations à la naissance.

13. Le Round-up : Il n’y a pas si longtemps d’ailleurs, on trouvait sur les bouteilles de Round-up, herbicide bien connu de tous les jardiniers, les mentions : 100% biodégradable ou biodégradable.

14. En

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