Synthèse culture générale sur la chirurgie esthétique
Synthèse : Synthèse culture générale sur la chirurgie esthétique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Anna Cognet • 9 Avril 2020 • Synthèse • 1 136 Mots (5 Pages) • 1 142 Vues
Synthèse de documents SAM 1
La propagation de cette nouvelle mode appelée « chirurgie esthétique » occupe une place importante dans la société actuelle. En effet, les modifications corporelles deviennent une mode et un devoir pour la population.
Tous les documents présents dans cette synthèse expliquent plus ou moins les effets tant positifs que négatifs, de la chirurgie esthétique,qui pourraient impacter le quotidien de ses consommateurs.
Le deuxième document, un article paru dans Le Monde le 21 novembre 2003 nommé « Sociologues et nutritionnistes s’inquiètent de la dictature de la minceur » de Christiane Galux, prône le désir de ressembler aux idéals esthétiques ainsi que le lien entre beauté et santé. De même que le document 4, une photographie issue du film « Brazil » de Terry Gilliam sorti en 1985, qui insiste sur le fait de pouvoir modeler son corps et son visage comme bon semble.
Tandis que le premier document nommé « Refaire le monde à coups de bistouri » paru en mars 2011 dans Le Monde diplomatique, interroge le lecteur sur l’aspect financier du phénomène, la nécessité excessive d’avoir recours à celui-ci. Ce document est rejoint par le texte de Georges Vigarello, des Éditions du seuil, en 2004, nommé « Histoire de la beauté : le corps et l’art d’embellir de la Renaissance à nos jours » qui explique comment le bien être a été associé à la beauté préétablie dans les esprits.
Ce dossier permet de nous interroger sur les proportions que ce phénomène prend.
Cette synthèse permet d’abord de constater l’importance évolutive du sujet . Elle explique les effets de phénomène puis démontre la typologie du mouvement de la chirurgie esthétique sur la société.
L’ascension de la chirurgie esthétique dans la société n’est pas un hasard. Il est dû a l’evolution de l’idéal féminin qui change et s’amplifie au fil du temps. Celle-ci a développé un besoin d’appartenance et de devoir chez les personnes sensibles sur ce sujet.
Depuis des décennies la femme a un devoir de beauté obligatoire imposé par l’homme et la société dans laquelle elle vit. Comme le raconte Christiane Galus, la femme est sans arrêt jugée et obligée d’être à son maximum, un peu comme si elle portait le rôle de déesse. À l’opposé de l’homme. Depuis déjà une certaine époque, les femmes sont le symbole de la féminité, de l’amour et principalement de la beauté. Comme un jeu, où celle qui sera la plus belle, pour ne pas dire celle qui sera le plus encrée dans les normes de beauté, remporte le jeu. Selon les différentes cultures et coutumes, les modifications corporelles ont toujours étaient présentes. Au fil des années, les critères de beauté ont évolués.
La société actuelle a développé un certain besoin d’appartenance chez la population, un besoin de ressembler aux autres et de suivre le mouvement. Comme le cite Mona Chollet dans son article la « standardisation des visages et des corps », les femmes ressentent la nécessité de respecter les standards de beauté. À la recherche de la perfection, mes femmes culpabilise de ne pas être physiquement comme « clones » à la télévision ou sur les publicités.
Une vraie société de consommation c’est créée autour de la chirurgie esthétique, pour cause l’augmentation de la médiatisation de celle-ci ainsi que la sexualisation du corps humain. Comme le souligne Christiane Galus, les femmes veulent ressembler aux filles des magasines, qui retouchées, dénudées, suscitent l’intérêt de tous. Ces femmes qui représentent la femme sure et sereine, remplie de beauté et de charme, sont l’exemple de celle qui
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