Synthèse de corpus

Dans le corpus de document-ci présent, nous avons 4 auteurs, Veynare « la révolution de la vitesse » avec son essai publié dans le magazine « L’histoire » en 2016. Tristan Garcia avec son essai paru par les éditions, autrement dans la collection « les grands Mots », en 2016, 
Enki Billal « on fait du surplace au beau milieu de l’accélération » qui est un article qui retranscrit la réponse de l’auteur suite à question d’un journaliste de la 23e de la rencontre philosophique retranscrit dans le magazine le Monde en 2011 et Victor Hugo, « En voyage, France et Belgique » ,qui est une lettre adressée à son épouse en 1837.
Le thème commun à tous ces documents est le regard que portent les auteurs sur les avancées, la vitesse d’évolution de la société et les résultats qu’elle provoquent selon eux.
Ce corpus de texte amène donc la problématique suivante : comment la vitesse d’évolution de la société a-t-elle un impact sur la vie des hommes ? 

Dans l'essai de Tristan Garcia en 2016, on évoque une vitesse qui est libératoire, une intensification des plaisirs grâce à celle-ci et un changement de notre rapport au monde que la vitesse provoque sur son passage avec l’arrivée d’une consommation nouvelle, de plus en plus intense grâce à ce que nous proposes le monde contemporain et la technologie de pointe qui l’accompagne, tout va très vite et l’homme devient un consommateur dépendant à l’intensité qu’il qualifie de progrès et provoque une émancipation de l’homme face à la contrainte qu’il a pu connaître dans le passé. Une époque, à travers les âges, un même ressentie depuis des générations, la vitesse provoque une émulsion de sentiments divers comme l’arrivée du train dans la vie des homme au 19e siècle que cite Victor Hugo dans sa lettre à sa femme, le paysage se déforme avec la vitesse que prend le train et on aperçoit un nouveau paysage, quelque chose que l’œil humain n’a jamais pu voir jusque-là, ce sentiment est libératoire et provoque une sensation propre à la découverte d’un nouveau monde, l’extase. 
L’auteur Tristan Garcia affirme que la vie est augmentée est que grâce à cette vitesse que nous procure les technologies actuelles, nous avons la possibilité désormais de satisfaire toujours plus de besoins, car grâce à elle, car nous gagnons du temps. Ce gain de temps est également souligné par Victor Hugo que le transports de nombreuses personne, en peu de temps, partout, est un miracle pour l’homme qui au lieu de passer un temps inconsidérable à devoir réaliser des distances longues, de perdre ce temps si précieux pour l’homme à devoir d’avancer d’un point A à un point B avec lenteur, gagne un temps considérable qu’il peut désormais utiliser pour d’autre chose qui augmente considérablement l’intensification des plaisirs de la vie, permettant alors d’atteindre le degré maximal de nos potentialité de vie. 

Quant à lui Veynare dans son essai, qui explique que, avec la révolution des transports au 19e siècle, cela amène l’homme grâce à cette passion pour la vitesse, à une volonté de réduire les distances de plus en plus omniprésente dans leur vie de tous les jours, de construire toujours plus haut et toujours plus grand. Cette avancée est spectaculaire, la course au média s’en part, et ne loupe pas l’occasion de célébrer chaque avancée de cette course à la vitesse, mais que cela est nuancé par le fait que ces avancées spectaculaires au service de l’homme ne sont qu’un jeu de concurrence, de compétition entre pays et entreprises basé sur la consommation, surconsommation autour d’une course à la vitesse qui pousse les hommes à vouloir conquérir le monde par la technique, sans jamais regarder derrière lui et qui amène progressivement à la démesure de manière totalement Inconsciente en causant des inégalités de plus en plus flagrante dans la vie des hommes.
Tout comme l’arrivée des transports maritimes et ferroviaire qui ont apporté une révolution des transports pour la vie des hommes, que souligne Veynage en soulignant l’avant et l’après de cette révolution, Enki Bilal lors de l’événement de la rencontre philosophique appuie également de manière similaire cette même révolution pour la vie des hommes par l’arrivée de Internet aujourd’hui, qui apporte selon lui, une accélération technologique et des potentialités énormes pour la société.
Ils soulignent ce potentiel avec l’arrivé notamment de l’évènement qui s’est produit lors du printemps arabe, qui à permit à des peuples, des nations, grâce à cette accélération technologique de permette de changer de manière considérable, de manière positive, grâce à l’accélération technologique, mais comme chaque chose poussé à l’extrême, de nombreux cataclysme apparaisse et cette montée en puissance causée par l’arrivée de internet à crée selon l’auteur un règne du zapping. Cette compétition soulignée par les deux auteurs amenés une course à l’audience, une compétitive dangereuse, avec ce désir de toujours allez plus vite, toujours plus loin et toujours plus hauts et que ce surplus d’information trompe avec pour but de nous montrer uniquement ce que l’homme veux voir et devrais consommer, faire. 
Une gestion du temps faussé, que constate l’auteur sur l’avant et par rapport à l’après-internet causant toujours plus de dégâts sur la vie de l’homme avec également une organisation moins bien maîtriser de par toutes ces avancées. Toujours plus de vitesse, amène l’homme à aller trop vite, cette obsession à eu pour cause de causer des effets néfastes qui cause des différences générationnelles, ou l’ancienne et la nouvelle génération n’arrive plus à suivre le mouvement, que tout le monde ne peux avoir, bénéficier de cette technologie de par son coût, et que tout cela amène à une population de plus en plus lente dans son rythme de réflexion, dirigé par un marketing, consommation, des média qui provoque un trop-plein d’information, de changement à assimilé pour une seule même personne. 

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