Mariage Precoce

contre sa volonté.

Il est généralement organisé par les familles qui ne respectent en aucun cas le consentement de l’enfant.

Le mariage forcé se pratique encore essentiellement en Afrique et en Asie, pour les aspects à la fois traditionnels et économiques.

Au XIXe siècle, en Europe, le mariage forcé était pratiqué dans les classes aisées. De nos jours le mariage forcé en occident et selon l’ONU est perçu contre une atteinte aux droits de l’homme en violant justement la liberté et l’autonomie des individus.

Le mariage forcé est également appelé « mariage d’affaire » appellation courante par exemple en Haïti, et c’est un problème commun à l’Asie, Moyen-Orient, Afrique et en Europe de l’Est, au Kirghzistan la pratique dite de « Ala Kachuu » consiste même à l’enlèvement de la future mariée.

Le mariage forcé pour la jeune fille est lourd de conséquences, ce sera un aspect incontournable à démontrer dans votre travail, les rapports sexuels forcés, les grossesses non désirées, les violences conjugales, la perte d’autonomie donc de liberté, tout ce qui peut donc entraîner un état de santé dépressif, une précarité encore plus grandissante, de même que la pauvreté et bien souvent ces femmes se retrouvent totalement coincées, victimes même de chantage.

A l’inverse, il est important de spécifier toutefois, que certains mariages forcés sont des mariages heureux.

Le mariage forcé est punit selon la loi française. Le mariage forcé se pratique de nos jours dans les régions du Maghreb (selon le principe bien souvent de la Dot) en Afrique Subsaharienne, en Macédoine, en Turquie, en Russie, en Asie du Sud et en Haïti.

On constate évidemment que cette pratique est courante dans les pays sous développés ou en cours de développement, dans des pays attachés à des traditions ancestrales et à des pays où les familles n’ont parfois pas véritablement le choix, on peut condamner le mariage forcé c’est évident, mais il faut savoir que dans ces familles bien souvent, c’est leur fille, qui est source de richesse alors ont-ils aussi quelque part véritablement le choix ? C’est une réflexion intéressante à développer…

Tags: argent, contrainte, inhumain, obligation, promesse, sentiments

This entry was posted on Mardi, juin 1st, 2010 at 13:30 and is filed under Finances, Sociologie, culture, psychologie. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, or trackback from your own site.

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