Lettre Pour John Duncan ( problematique Amerindienne )

Cher M. John Duncan,

Depuis plusieurs années, une problématique s’est installée chez la nation autochtone du Canada. Ce problème influence grandement la société autochtone, qui est sujet à de nombreuses conséquences néfastes pour leur vie courante. Je dédie cette lettre à vous, M. John Duncan, pour vous faire part de ce problème qui ne peut être ignoré.

La nation autochtone est confrontée à une pauvreté croissante. En effet, selon des statistiques, chaque foyer autochtone serait constitué de 8 personnes, alors que la taille de la maison elle-même est ridiculement petite. Les autochtones vivent dans des conditions de vie sanitaires déplorables. Dans certains villages, ils n’ont pas accès à l’eau potable, parfois même à l’électricité, ce qui est responsable de nombreux empoisonnements. De plus, il est dit que le taux de mortalité infantile chez la nation autochtone est 5 fois supérieur à la moyenne canadienne.

Aussi, les écoles amérindiennes bénéficient de moins d’argent que les autres écoles au Canada. Sans argent, les jeunes ont une éducation de moindre qualité et les conditions d’apprentissage sont médiocres. Ainsi, les jeunes se tournent vers la drogue, l’alcool et la cigarette et d’autres se suicident. On compte également que 75% des personnes dans les réserves sont au chômage. Sans argent, sans appartenance territoriale, les autochtones sont confrontés à un problème majeur, ce qui légitime leurs revendications territoriales.

Finalement, je crois qu’il faut prendre en considération les demandes des autochtones et analyser en profondeur la situation de la nation autochtone. Pour ma part, je proposerai de donner le droit d’appartenance des terres sur lesquelles les amérindiens vivent. Ainsi, ils pourront conserver leurs terres, leurs logis et tenter de développer une stratégie pour sortir de la pauvreté. La culture amérindienne peut sans aucun doute apporter une contribution durable à la société canadienne et il convient de la préserver du mieux que nous pouvons.

Je vous prie d’agréer, Monsieur John Duncan, mes salutations distinguées.

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