La biodiversité actuelle est un héritage du passé

Au sein d'une même espèce, on constate souvent une grande diversité genetique (par exemple, chez l'homme : groupes sanguins, cas de la drépanocytose...).

Au final, on compte donc 3 niveaux emboîtés de biodiversité : diversité des ecosystemes, diversité des especes (au sein d'un même écosystème), et diversité genetique (au sein d'une même espèce).

II. La biodiversité actuelle est un héritage du passé

Au cours des temps géologiques, les especes peuplant les différents écosystèmes de la planète ont changé ; certaines sont aparues (ex : moustiques londoniens) alors que d'autres ont disparues (ex : le dodo). Toutes ces variations dans le temps montrent que la biodiversité n’est pas fixe, mais dynamique: elle évolue à différentes échelles de temps, et nous ne ne sommes témoins que d'une dans l'histoire de la biodiversité.

L'homme moderne exerce une forte empreinte sur son milieu de vie, sans toujours prendre en compte les conséquences de ses pratiques. La destruction des habitats (déforestation...) ou leur fractionnement, la diminution des ressources (pêche ou chasse abusive) ou l'introduction (volontaire ou non) d'espèces invasives entraînent une baisse de la biodiversité.

Le bassin méditerranéen (1), de par ses caractéristiques climatiques et géologiques est l’un des secteurs les plus riches de la planète, comme toutes les autres régions à climat de type méditerranéen : Chili central (2), Californie (3), la région du Cap en Afrique du Sud (4), Sud-Ouest australien (5).

Les autres zones en rouge sont aussi des hotspots de la biodiversité, mais le climat qui y règne n'est pas de type méditerranéen.

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