Fiche De Lecture : Titre Une larme m’a sauvée, Angèle LIEBY et Hervé CHALENDAR
Documents Gratuits : Fiche De Lecture : Titre Une larme m’a sauvée, Angèle LIEBY et Hervé CHALENDAR. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mapaou • 3 Juin 2013 • 907 Mots (4 Pages) • 9 059 Vues
1. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Titre Une larme m’a sauvée
Auteur Angèle LIEBY, Hervé CHALENDAR
Note sur l’auteur En Alsace où elle vit, Angèle a rencontré Hervé de Chalendar, journaliste aux Dernières Nouvelles d’Alsace. Ému par son histoire, il en a fait le récit dans le quotidien où il travaille et a obtenu le prix Hachette. Ensemble, ils ont décidé d’écrire un livre. L’histoire d’Angèle a aussi fait l’objet d’un portrait dans l’émission de TF1 « 7 à 8 ».
Date de l’édition 22/03/2012
Nombre de pages 231 pages
Edition ARENES(LES)
Référence des publications Reference web pour la note sur l’auteur
2. SYNTHESE DE L’OUVRAGE
A travers le livre « Une larme m’a sauvée », Angèle Lieby, dans un témoignage poignant, nous fait revivre la maladie qui l’a foudroyée un 14 juillet 2009. Des migraines « je n’avais jamais connu ça » avec des signes avant-coureurs « acidité de l’ananas, du citron dans le poisson », des changements d’habitudes « je prends le bus de l’entreprise d’habitude, ce jour-là j’ai pris la voiture » mais surtout les picotements ressentis au bout des doigts envahissant les deux bras l’ont poussé à consulter aux urgences. Là, pour soulager ses souffrances, elle est placée dans un coma artificiel de 48 heures d’où elle ne se réveillera pas. Elle se retrouve « prisonnière de son corps » dans le noir total, mais totalement consciente : « j’entendais tout et tout le monde me disait réveille-toi ! », mais dans un état végétatif.
Elle passe par tous les stades non-respect de sa dignité humaine, d’abord envers son mari (annonce faite à celui-ci d’entamer les démarches mortuaires après quatre jours), et subit les humiliations du personnel soignant qui la croyait déjà morte « on ne lui fera plus qu’un soin par jour, ça ne sert à rien elle va clamser ». Elle ne doit son salut qu’à la persistance de son mari et de sa fille à ne pas débrancher les appareils.
Et le jour de leur anniversaire de mariage un 25 juillet, sa fille voit une larme couler de son œil que l’équipe assimile initialement à du gel. Mais la ténacité d’Angèle à survivre lui permet de bouger un doigt.
Commence alors une rééducation lente et douloureuse : pour elle les gestes les plus simples comme respirer ou marcher deviennent de véritables moments de calvaire. Elle réapprend les gestes de base, comme parler, pour arriver, après quelques mois, à retrouver une complète autonomie.
Pour elle, le passage à l’hôpital lui a laissé des traces et a créé une « phobie » comme, elle ne comprend pas comment on peut soigner ainsi.
Au-delà de la douleur physique, une douleur se révèle plus intérieure : « les seules plaies que j’aurai à vous montrer se concentrent sur une seule partie de mon être : elles ne blessent que mon âme ».
Enfin elle recense dans son livre les bonnes mais surtout les mauvaises pratiques afin d’alerter et de faire prendre conscience que dans toute maladie il y a un malade.
« À l’hôpital
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