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Culture générale de l'éducation

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Par   •  6 Mars 2017  •  Cours  •  1 564 Mots (7 Pages)  •  862 Vues

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CULTURE G – L’EDUCATION

 un des amphis les plus important de l’année : thème de l’éducation  mise en abîme

Tous les textes important de la littérature traitant de l’éducation sont dans le polycopié

•Comment l’éducation peut contraindre à une vie d’esclave tout en aidant à s’émanciper?

• L’univers de l’éducation est un monde de tension :

- La tension entre l’émancipation et l’endoctrinement ? comment nourrir un esprit et élever l’esprit critique ?

- Comment construire le futur avec du passé ?

- Comment les héritiers d’une époque révolu peuvent ils être les passeurs qui conduisent à porter le monde de demain ?

- Comment faire du sur mesure au moment de la mondialisation ? Du sur mesure par rapport à l’adéquation des diplômes à l’échelle mondiale ?  On devrait pouvoir développer ses capacités où on veut et quand on veut, à un moment de notre vie on peut ne pas être prêt à s’ouvrir à une matière/un sujet alors qu’à d’autres moment plus tard cela peut nous intéresser. Aujourd’hui en dehors du système scolaire il existe les cours en ligne, les cours du soirs etc… mais comment faire avec un emploi ou des enfants ? On ne devrait pas avoir une dimension éducative pendant 18 ans puis une dimension exécutive le reste de sa vie.

-Comment concilier une éducation nécessairement en retard sur son temps (professeurs diplômés depuis longtemps, comment peuvent-ils être à jour sur les connaissances actuelles cf théories marxistes au lycée)  peut être permettre de construire le futur ? Cependant l’enseignement est aussi une question de savoir faire, pour enseigner il faut être formé (structuration du cour)

THEORIE DE LUTHERAUD

TRED : Triangle Educatif Déficient

TREV : Triangle Educatif Vertueux.

L’idée c’est que tous les univers sont des tissus complexes et vivant, parmi eux, il y a un milliard de fibres. Il y aurait des fibres éducatives qui vibrent encore (esprit critique, pensée, éducation, et il faut que ces fibres vibre encore. (Nietzche comparait ses professeurs à des boucher avec des animaux morts qu’ils distribuaient), il faut travailler ce qui dans l’éducation est encore vivant, et ce qui est vivant doit être limité sinon cela aussi mourra.

A coté de ces fibres vivantes, il y a des fibres nécrosées. Par exemple, la laïcité, en 1905 a été un renouvellement extraordinaire, la génération suivant à bénéficié de l’apaisement des relations civile considérablement, aujourd’hui 110 ans plus tard, on prône la laïcité, mais il faut chercher ce qu’il y a encore de vivant et de beau dans la laïcité et jeter le reste. Dans l’éducation, on cherche à montrer les « tissus nécrosés » pour recréer quelque chose de vivant, tout en ne supprimant pas l’ensemble de la toile au nom des tissus nécrosés.

LE TRIANGLE EDUCATIF

Le triangle éducatif est entre : l’éducateur, la personne qui reçoit l’éducation et l’éducation, ce triangle contient énormément de tensions

•L’éducateur : qui est l’éducateur (nounous, parents, ceux qui s’occupent des garderies, professeurs) ? Il y a une diversité de parents mais la plupart veulent qu’on respecte les valeurs familiales, qu’on s’épanouisse qu’on devienne autonome… Mais ces aspects de sont pas toujours compatibles, par exemple dans une famille protestante on voudrait que les enfants aient des valeurs humaines plutôt que de l’argent, mais sous la pression du chômage il faut se mettre à l’abri du besoin. Beaucoup de personnes participent à notre éducation dans notre vie, ils n’ont pas tous les mêmes ambitions pour notre éducation, au sein même d’une même entité éducative (comme les parents par exemple) il existe des contradictions (pas les mêmes valeurs, même idéologies politiques…)

Un même éducateur n’a pas une vision unique, il y a une vision économique et une vision affect (il faut se mettre à l’abri du besoin donc trouver absolument du travail, mais si ils nous voient malheureux dans notre travail, ils finiront par nous dire de le quitter) 

L’éduqué : La question est de savoir si on est un acteur passif ou actif de notre éducation ? A partir du moment où on est passif il y a un risque d’endoctrinement (les élèves au 19ème siècle étaient passifs, endoctrinés par leurs professeurs avec des œuvres nationalistes qui incitaient à se battre pour la patrie ou encore au 20ème siècle avec les œuvres d’endoctrinement de la jeunesse historienne) Aujourd’hui la problématique est la même, à l’école quand on est très jeune on est influençable et de simples écarts des professeurs, ou lorsqu’ils donnent leurs avis, peuvent considérablement influencer un élève et sa façon de penser.

Depuis Jules Ferry on considère l’éducation rationnelle, or, à l’exception matérielle et primaire (écrire, compter), aujourd’hui on demande à des élèves de rester assis pendant 35 heures et d’avaler des connaissances. Arrivé au premiers emplois, on a aucune connaissance de la réalité du monde (s’occuper des assurances, des impôts, de la sécurité sociale). On ne peut pas pousser à l’autonomie sociale et dire que « nul ne peut ignorer la loi », alors que les cours d’éducation civiques à l’école sont souvent utilisés comme heures supplémentaires pour finir le cours par les professeurs.

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