Critique de l'exposition " imaginez l'imaginaire" du Palais de Tokyo
Mémoires Gratuits : Critique de l'exposition " imaginez l'imaginaire" du Palais de Tokyo. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 16 Décembre 2012 • 662 Mots (3 Pages) • 1 245 Vues
Critiique de l'exposition ''imaginez l'iaginaire'' du Palais de Tokyo
Laisser l’imagination au public
Le titre « Imaginez, Imaginaire » donne déjà une indication pour cette exposition- il faut utiliser nos imaginations pour visiter cette exposition.
L’art contemporain est souvent abstrait, difficile à comprendre, ou peut-être on n’a pas besoin de comprendre... Dans une institution muséale, nous connaissons les oeuvres avec les étiquettes ou les cartels à côté des pièces exposées. Cependant, ce n’est pas le cas dans cette exposition parce qu’il manque souvent des indications dedans et je ne peux pas capter le sens de l’auteur. Ainsi, il y a une oeuvre de Fabrice Hyber, « Matières Premières » avec plusieurs de tissues ou de plastiques transparentes. Au debut, je ne comprend pas le sens de cette oeuvre et j’ai envie de toucher mais comme dans le musée, normalement, nous ne touchons pas les pièces exposées, je regarde à côté. Après, une médiatrice avec un groupe de l’enfant maternel, elle commence à raconter son objetif et même emmener les enfants de toucher et découvrir l’oeuvre. Du coup, je pense que la médiation est importante dans l’art contemporain. Bien sure que l’on doit laisser les oeuvres qui parlent elles-mêmes, comme Benjamin a dit que « le pur langage captif dans l’oeuvre » et nous devrons nous découvrire nous-mêmes. Néanmoins, parfois, on n’a pas reçu le dodage de l’oevre, on comprend donc pas ce qu’elle veut exprimer. D’autre part, dans l’exposition, il n’est pas clair que si nous pouvons interactiver avec les oeuvres ou non. Par exemple, également avec l’oeuvre de Fabrice Hyber, « sol éponge », « arc en ciel », « éclairt »,... si je n’ai pas vu les groupes d’adolescent qui font la découverte avec leurs mains et leurs pieds, je n’ose pas les toucher en raison de la régle dans le musée.
Comme les oeuvres sont dans un endroit compliqué¬ ¬¬¬¬– ressemble une lymbirinte, il n’est vraiment pas facile de comprendre l’orientation du plan. Lorsque je commence la visite, je me doute toujours que je commence bien le début de l’exposition, et je cherche aussi toujours la démarche de l’exposition. Mais à la fin, je me suis dis que peut être qu’il faut que l’on saute le cadre dans l’exposition, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de l’étiquette, de l’ordre du sens visite, etc.
En outre, je voulais dire que l’endroit est aussi comme un chantier ! Il casse notre stéerotype du musée – il n’est plus un endroit propre, calme, bien peintre sur les murs, un joli bâtiment à l’intérieur,... Bien qu’il y a une exposition qui est en train d’exposer, mais parallèlement, l’équipe est en train de préparer une autre exposition, et même pas utiliser des tissues ou des planches pour cacher.
Par ailleurs, nous disons souvent que le musée est accèssible à tout le monde, toutefois, je voudrais dire “non” : le musée( ou plutôt l’exposition) n’est pas accèssible à tout le monde ! Par exemple, j’ai visité cette exposition avec deux copines française, lorsqu’elles ont vu une oeuvre qui écrit « Hanson » et avec trois jeunes sur le miroire, les deux filles ont ri et parlé de leur souvenir. Je n’ai pas la même expérience avec elles, du coup,
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