Analyse de pratique professionnelle: la mise en place d’un protocole BMR

Je suis en stage de 5 semaines à l’hôpital X, établissement de soins de courte durée (SCD) en service de cardiologie au 4éme étages. Ce service comporte une salle de scope, un poste infirmier, et trois salles ou se déroulent les explorations cardiaques. C’est un service qui peut prendre en charge jusqu'à 15 patients. Au niveau du roulement, ce service s’organise en ayant une aide-soignant du matin, une de journée, et une de l’après-midi. Au niveau infirmier, il y a deux infirmières le matin ou une du matin et une de journée, et une infirmière de l’après-midi. Pour cette deuxième analyse de pratique nous avions le choix du thème, j’ai donc choisie d’analyser la mise en place d’un protocole BMR.

 Phase descriptive :

Nous sommes le 22 novembre 2014 au service de Cardiologie de l’hôpital X, c’est la deuxième semaine d’observation de mon premier stage en tant qu’étudiante infirmière. Il est 11h00 et je suis en compagnie de M, une infirmière diplômé d’état qui était en train de m’évaluer sur la prise des paramètres vitaux. M., reçoit un appel pour une entrée. Il est à peu près 11h30 quand Monsieur D, entra en chambre 411 au lit B. C’était une chambre double. Monsieur D., était un homme âgé de 82 ans, entré pour ( ). Il avait le teint blanc, cheveux gris et qui avait une position très étrange dans son lit, il était assis les genoux remonté vers son torse, très tendu. Lorsque je me suis approché de lui j’ai pu observer beaucoup des lésions cutanées, c’était un homme qui se gratter beaucoup. Ce monsieur lors de son entrée ne parler pas, il était endormis. C’est bientôt l’heure des repas donc je m’en vais rejoindre les aides-soignantes et laisse M., faire l’entrée de Monsieur D.

Après avoir servie les repas, je vais dans la chambre de Monsieur D., me frictionne les mains avec de la solution hydro alcoolique pour le faire manger. Je le réinstalle donc correctement puis le fis manger. Je me frictionne les mains en sortant de la chambre de Monsieur D. Lorsque je reviens des repas pour rejoindre M., je me rends compte qu’elle a finis sa journée et s’en est allée. La mienne est presque finie, j’accompagne les aides-soignantes faire le tour des changes puis je m’en vais.

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