Aide-soignante Module 5: le patient schizophrène
Compte Rendu : Aide-soignante Module 5: le patient schizophrène. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar fabienne83480 • 2 Avril 2014 • 2 028 Mots (9 Pages) • 3 923 Vues
Sujet de communication module 5 patient schizophrène
INTRODUCTION
La situation que j'ai choisi de développer et d'analyser s'est dérouler lors de mon deuxième stage qui a eu lieu en psychiatrie .C'est une situation de communication que j'ai vécu en terme de difficulté.
Dans un premier temps je décrirais la situation en précisant le lieu,le moment ainsi que les protagonistes,j e décrirais pas la suite les faits et sentiments ressentis en m'appuyant sur mes connaissance théoriques et sur des recherches effectués enfin j'analyserais la situation et expliquerais comment la situation aurait pu se dérouler autrement.
DESCRIPTION DE LA SITUATION
Ma situation concerne un homme atteint de schizophrénie,afin de respecter le secret professionnel
je l'appellerais Monsieur H,elle c'est dérouler au bout du cinquième jour de mon stage dans un Centre Hospitalier Interdépartemental spécialisé dans le traitement des maladies mentales dans une unité d'hospitalisation à temps complet de trente lit en hospitalisation d'office et sur demande d'un tiers où intervient une équipe pluridisciplinaire composée de médecins psychiatres, médecin somaticien , une psychologue, d’un psychomotricien, d’assistantes sociales, d’infirmiers, d’aides-soignant...
Monsieur H est âgée de 29 ans,d'origine marocaine, il est brun a la peau mate ,il pèse 8O kilo pour 1m90,il à été hospitalisé à la demande d'un tiers(son père) il y a 5 ans du a plusieurs agression commis dans son village sur des passants et des commerçants ainsi qu'un viole sur une femme qu'il avait croisée,il bénéficie une fois par moi selon son comportement de permission chez son père et si celui ci souhaite le recevoir.
Monsieur H est le deuxième d'une famille de 3 garçons,il ne voit plus sa mère depuis l'âge de 15 ans
car elle à quitté le domicile et est repartie au Maroc ,son père et ses frères vivent à proximité de l'hôpital et lui rendent visite une fois par semaine, leurs relations est souvent tendu car ils appréhendent les réactions de Monsieur H.
Sur le plan psychologique Monsieur H pressente une psychose ''la schizophrénie'' qui se manifeste pas des signes de dissociation mentale,de discordance affective et d' activité délirante,ce qui a pour conséquence une altération de la perception de soi même et des troubles cognitifs.
Monsieur H a attiré mon attention dés le premiers jours par les propos qu'il tenait et surtout car il m'impressionnait.
Lors de mon premiers jours,je me suis présenter.
-''Bonjours je suis Jennifer élevé aide soignante''.
-Il me répond d'un ton agressif ''donne moi mon Loxapac sinon j'ai envie de violée des femmes'' ;
Je lui répond que je ne peux pas car je ne suis pas infirmière,il s'approche de moi et me dit''quand j'étais petit ma mère me mettait des rats sur mon corps,tu comprends madame des rats ,c'est moi qui es tuer la princesse Diana et je vais tous vous tuer '', pas le temps de répondre une infirmière arrive
et lui demande de se calmer tout de suite si il ne veut pas allez en chambre d'isolement,Monsieur H impressionner par cette personne pars sans rien dire,j'en profite d'être seul avec l'infirmière pour lui expliquez que se patient m'impressionne, qu'il me suis partout et que je ne sais pas comment réagir et quoi lui répondre lorsqu'il devient agressifs et tient ses propos, l'infirmière me conseil de ne pas hésiter à le recadrer, à élever la voix,à ne pas rentré dans son délire et à le faire revenir a la réalité.
Les jours passent Monsieur H tient toujours le même discours, moi je continue à l'éviter en me disant qu'il va falloir que je m'affirme,cela me frustre de ne pas arriver a communiquer avec lui , j'appréhende les conflits avec celui-ci,je décide d'aller voir son dossier médical pour essayer de comprendre son comportement,je lus un tas de chose qu'il avait fait subir a des personnes avant son hospitalisation et pendant ses permissions, je me sentit encore plus mal en le voyant mais se que je ressentait n'était plus de la peur,non ,ma vision avait changer et le cinquième jours arrive.
DESCRIPTION DES FAITS:
Il est 11h, les soignants partent tous en urgences dans la cour car un patient est en crise,et me demande de rester dans le service. je me retrouve donc seul dans la salle à manger avec deux patient, Monsieur H et une autre résidente que je nommerais Madame N atteinte du syndrome extra-pyramidal (syndrome neuroleptique= tremblement,hypertonie,akinésie)du au neuroleptique prescrit pour la maladie de parkinson.
Nous sommes assis à une table, les deux patients semblent calme et regarde la télévision,Monsieur H se met à tenir ses propos habituel,sur le fait qu'il n'aime pas les étranger et qu'il a besoin de violé des femmes.
Madame N se met à l'insulter et je lui demande d'arrêter,ce qu'elle fait aussitôt,le calme revenue mais deux minute après Monsieur H se lève s'approche de celle ci et se met à l'insulter ,celle ci rétorque aussitôt en l'insultant de même ,Monsieur H me jette un brève regard, se dirige vers l'autre patiente et lève la main pour lui donner une gifle, « j'ai besoin de violée des femmes »,ne supportant pas entendre cette phrase je m approche et lui demande de se calmer en manifestant ma colère et en posant ma main sur son bras, il me regarde de travers en ayant toujours la main lever et me dit '' je n'aime pas les étrangers'',je me positionne entre les deux patients et demande avec un ton ferme et en haussant la voix à Monsieur H de quitter la salle à manger tout de suite,il eu un moment d'hésitation me regarda longuement dans les yeux me répondit ''toi je vais te violée et te tuée''et parti en direction de la cour en mettant des coup de poing dans les murs du couloirs en vociférant des insultes et en hurlant,il se calma seul au bout de 10 minutes et reviens dans la salle à manger comme ci cette altercation n'avait pas eu lieu mise a part que son poing était en sang et avait doubler de volume Les jours suivant j'ai eu l'impression que monsieur H
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