Action Des Medicaments Euthanasie.
Mémoires Gratuits : Action Des Medicaments Euthanasie.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar fcm01 • 6 Janvier 2015 • 492 Mots (2 Pages) • 1 276 Vues
Si la formation de ces caillots se situe dans les artères au niveau du cœur, dites artères coronaires, cela bloquera la circulation sanguine, le dioxygène sera donc absent dans le myocarde (muscle du cœur qui assure la circulation sanguine et le remplissage des cavités cardiaques). A l’échelle cellulaire, ces caillots entraîneront le décès de ce muscle. Dans ce cas, on parle alors d’infarctus du myocarde ou plus communément appelé crise cardiaque.
Une forte hypertension a comme conséquence l’arrêt de la filtration des déchets par les reins, il y a une accumulation dans le sang de produits toxiques. Le sang contaminé arrive dans le cerveau. Au niveau du thalamus, la présence de pentobarbital dans le liquide vital (sang) provoque un ralentissement du système nerveux. Le cervelet ne pourra recevoir qu’une infime partie des informations transmises par le système nerveux. Le patient perdra alors l’équilibre, le sens de l’orientation, la coordination de ses gestes. Le patient éprouve alors une libération des sensations causée par le thalamus (organe qui est à la cause de nos émotions). Ainsi on observe une baisse du rythme cardiaque puisque le système nerveux est ralenti.
En effet, le pentobarbital affaiblit fortement le cortex sensoriel d’où la diminution de l’activité motrice. Cette substance ralentit ou empêche la conduction des influx nerveux vers le cortex cérébral. A forte dose, les barbituriques peuvent entraîner un sommeil profond, voire même un coma ce qui peut être la conséquence dans cette situation. L’hypothalamus qui permet de contrôler les battements du cœur sera aussi touché alors les battements s’accéléreront. A la suite de ce ralentissement, de graves dysfonctionnements induisent la mort du patient. De plus, comme cette partie importante du cerveau subit des lésions importantes lorsque l’organe moteur est mal alimenté en oxygène, la reproduction effectuée par l’hypothalamus ne se déclenchera pas, la reproduction cellulaire ne sera donc plus assurée et les cellules mourantes ne se régénèreront pas.
Quand il est administré par voie orale, le patient doit prendre des anti-vomitifs afin de ne pas rejeter la solution. Tout d’abord, le médicament passe dans l’estomac où il sera digéré, puis dans le foie et dans les reins. Le cœur et les poumons seront gravement touchés, il y aura une obstruction des voies respiratoires. Ce manque d’oxygène déclenche dans le cerveau un dysfonctionnement qui touche les autres organes comme le cœur. L’augmentation de la pression sanguine provoquera une attaque cardiaque.
Tandis que par injection, le sang déjà contaminé sera distribué directement dans les autres organes vitaux.
Bien évidemment, aucun métabolisme ne pourra être observable de l’extérieur vue que le cerveau qui aura reçu un sédatif, sera endormi pendant que tout ceci se produit. Heureusement, les transformations chimiques dans l’organisme se font sans qu’aucune douleur ne soit ressentie, puisque le cerveau bloquera les actions du système nerveux et donc du système sensoriel. De plus, le malade sera déjà dans un sommeil profond.
Par conséquent, le médecin et son équipe soignante ne pratiqueront aucune réanimation.
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