Une lettre à propos de Tariq Ramadan
Commentaire de texte : Une lettre à propos de Tariq Ramadan. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Fatima.B • 7 Mai 2013 • Commentaire de texte • 1 185 Mots (5 Pages) • 996 Vues
Une lettre de cheykh ar Râjihi à propos de Tarik Ramadan
Ceci est une lettre qui a été écrite et envoyée au savant érudit ‘Abdel‘Aziz bnou ‘Abdallah ar Râjihi au sujet de Tarek Ramadan. : Du frère 'Abdoullah A l’attention de l’honorable savant ‘Abdel‘Azîz bnou ‘Abdallah ar Râjihi
Salamou ‘alaykoum wa rahmatoullahi wa barakâtouh, wa ba’d
Je vous avais demandé un avis juridique sur un prêcheur ici en Belgique, ou plutôt en Europe, qui appel les gens à la laïcité, et à l’interruption de l’application des peines islamiques qu’il qualifie de monstrueux, etc…
Cet homme, qui se nomme Tariq Ramadan, est très écouté et suivit et loué auprès des jeunes particulièrement, et ce que l’on peu observer, c’est que ces jeunes n’ont pas réellement de connaissance des fondements dans la religion, et ne connaissent pas le vrai sens du monothéisme, et ne connaissent pas les savants de notre époque, voir même les savants anciens…. Pour cette raison cher Cheykh, nous avons besoin d’explication dans certains sujets et de réfutations détaillées sur les paroles de ce fourbe, avec l’énonciation des preuves islamiques afin que quiconque lira cet réfutation soit inexcusable, avec l’aide d’Allah.
Premièrement, on l’interrogea (Tariq Ramadan) au sujet de l’apostasie, et de la peine de l’aposta, et il répondit que l’apostasie est une chose permise en islam, et légiférée, et qu’on ne blâme pas l’aposta, mais on lui demandera de respecter les musulmans. Il dit aussi que la peine de mort sur l’aposta est une erreur, car le seul juge c’est Allah et personne ne connais les cœurs si ce n’est lui. Et il prétend que certains savants du huitième siècle l’ont précédé dans cette opinion.
Deuxièmement : Il condamne l’Arabie Saoudite, car ils empêchent la construction d’églises, et l’adoration du fils de Meryem aux chrétiens.
Troisièmement : Il dit que les peines islamiques corporelles, tel que la lapidation de l’adultérin, la mutilation de la main, sont inapplicables à notre époque, et que lorsqu’on les appliquait au temps du messager d’Allah –qu’Allah prie sur lui et le salue- il nous faut examiner cette époque là, et notre époque, et que ce qu’on observe alors c’est que les choses ont changé, et qu’il est impératif d’arrêter l’application de ces peines, comme l’a fait ‘Oumar ibn Khattab sur le voleur pendant la famine.
Quatrièmement : Il dit que la laïcité ne contredit pas l’islam, mais au contraire fait partie des fondements de l’islam, et le fait de dire qu’ils sont en opposition est absurde. Il conseil donc aux jeunes la lecture de livres de certains philosophes mécréants, athées, et laïques, et il déclare aimer Voltaire, qui est un philosophe français de l’époque de la révolution française.
Il dit qu’il est permit de ne pas appliquer les lois d’Allah en ce qui concerne les choses de ce bas monde car dans ce bas monde, la règle de base est l’autorisation, la permission.
Cinquièmement : Il dit que les savants salafis sont didactiques (qu’on peu apprendre d’eux) en ce qui concerne la croyance (‘Aqida) et l’adoration (‘Ibâdât) mais pas dans ce qui concerne les affaires sociales (Al mou‘âmalât).
Sixièmement : Il fût interrogé au sujet des Chiites, et de mettre en garde sur eux, et il répondit que les musulmans ont dit beaucoup de stupidités sur les chiites, mais qu’ils ne connaissent pas le vrai sens du chiisme, et que lorsqu’on lit leurs livres, on s’aperçoit qu’ils sont très intéressant et importants, et qu’il y a dedans de la science nécessaire et très profonde.
Septièmement : On lui demanda « Quelle est la loi prioritaire pour vous, la loi de la république ? Ou la loi du Coran ? » il répondit « En France,
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