Règle de grammaire
Cours : Règle de grammaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar koolkateli1 • 14 Mars 2021 • Cours • 2 653 Mots (11 Pages) • 432 Vues
Il y a dans les pratiques religieuses des choses qui croisent la mythologie, c’est ce qui a posé problème au début de la religion chrétienne car certaines choses relevaient trop du mythe (comme la naissance de Jésus). La croyance influe sur la représentation.
1. Ce qui les rapproche, ce qui les distingue
Monothéisme : quels visions opposent-ils ? Quel parallèle peut-on faire entre-elles ? Comment sont nées ces première religion, quels sont leur grand dogme.
Quelles sont les caractéristiques communes de la représentation du monde induites par le monde.
1. La question du monothéisme
La première définition qui vient consiste à définir par ce qu’il n’est pas, c'est-à-dire le polythéisme, ou l’athéisme -> donc c’est croire en qu’un seul dieu. Hénothéisme (un), croire en un dieu parmi les autres, qui serait le lus fort -> variante du polythéisme. (Certains considèrent que religion romaine se dirige d’un polythéisme vers un hénothéisme, car Jupiter devient le maitre incontesté de plus en plus) Dans le polythéisme il y a de plus en plus quelque chose qui se rapproche du monothéisme.
Paganisme (Paganous = paysan)—> naissance des juifs et chrétiens se doublent sur un regard de ceux qui ne sont pas juifs ou chrétiens, donc quand le judaïsée et christianisme née, il y a aussi le paganisme qui née, donc athée.
1ère hypothèse : quand la religion chrétienne se développe, elle se développe dans les villes, chez les aisées et donc par opposition, les autres = paysans.
Autres explications : le fait que le paganous est celui qui ne participe pas à la vie militaire, alors que les chrétiens sont l’armée qui défendent la cause de Dieu…
Le monothéisme est aussi ce qui s’oppose au polythéisme, paganisme, notamment au moment de l’exception du christianisme en occident. Ce mot de paganisme a une connotation péjoratif, le païen est une façon péjoratif de désigner celui qui ne croit pas/celui qui est polythéiste.
Il y aussi une opposition chronologique -> le monothéisme est ce qui succède le polythéisme. Système de représentation du divin relativement différent, elle n’est pas historique -> on a des traces de monothéisme ancien (Egypte avec Aton, dérivée d’Amon à cause des crises, la bascule s’explique parce que elle est plus vaste que ça et embrasse d’autre champs d’application que la religion)
Cette pratique du monothéisme est aussi ancienne que le polythéisme -> pas de rapport historique, mais on peut questionner en revanche ce que recouvre le mot monothéisme, dans le sens d’un seul, unique et rien d’autre.
Texte 1 : Pierre Gisel, Les Monothéismes, 2006 - Chapitre premier
Parler de monothéisme est parler l’homme. L’étude d’une religion ne peut pas se couper du point de vue humain, il s’agit avant tout d’étudier l’homme, et ce point de vue humain est nécessairement multiples, (judaïsme, christianisme, islam…) et pourtant le monothéisme nous confronte à l’unité, ou à l’unicité et ça c’est le problème. Qu’est ce qu’on entend derrière le monos -> unicité, qu’il n’y en ai qu’un, et pas plusieurs, pour autant on glisse de cette question d’unicité à unique.
Si il est unique, il englobe tout, ce qui est paradoxal avec l’homme. D’où cette idée de passage -> le monothéisme pour Gisel n’est pas un état c’est le résultat d’un processus continuellement activée du passage du multiple au unique, et c’est constamment rejoué, car l’homme n’est pas unique -> transformation continuelle du multiple à l’unique.
Texte 2 : Isy Morgensztern, L’Aventure monothéiste, 2011 - Avant-propos
Une définition paresseuse du monothéisme qui se fie qu’à la croyance d’un dieu alors que l’objectif est de poser les règles à suivre dans le monde d’ici-bas, un monde acceptable par missions et obligations. Il nous rappelle que le but de ces trois monothéisme est une existence de justice et de paix et il souligne l’existence d’un schéma qui présente des trois monothéismes des échos, des ressemblances troublantes mais qui font sens.
1er écho : ces monothéismes se sont construits par des fidèles minoritaires dans une société polythéistes -> ils étaient à la marge soit d’un point de vue sociale, ou des martyrs.
Donc ces monothéismes sont mis en place qui affronte des problèmes, des difficultés d’existence concrètes et qui comptent sur leur religion qui se veut un système pour résoudre ces difficultés -> ce qui souligne le prosélytisme dans ces 3 religions, car pour les 3 on a des populations pour lesquels il est nécessaire de diffuser leur croyance, son contenu, en se déplaçant -> lutte pour exister, subsister. Ils doivent diffuser la parole religieuse -> Dieu déterriorialisé.
Il explique aussi que ça explique dans ces trois monothéismes l’importance accordée aux livres, parce que dans cette perspective de déplacement de population, de transmission d’une croyance, l’écrit est le vecteur le plus efficace. Il ajoute que non seulement ça permet le récit, mais aussi la discussion permanente de la parole sacrée comme si ça permet de prolonger la durée de la tension, de questionnement (parole vive)
L’idée de mettre en place une société globale juste et apaisée, l’idée de ces monothéismes est d’aller vers l’instauration d’une nouvelle société où l’homme a une place centrale. Dans ces monothéismes, Dieu ne s’occupe que des hommes, c’est l’objet de son attention, dans une relation de distance et proximité et cette relation entre dieu et les hommes et une relation égalitaire, dieu s’adresse à tous les hommes également -> compensation d’un système inégalitaire au départ.
Texte 3 : Isy Morgensztern, L’Aventure monothéiste, 2011- « La fabrique des monothéismes »
Les individus sont prêts à se plier à certains nombres d’obligations -> au nom de quoi ces individus s’imposent ces obligations ?
Transcendance : ce qui relève d’un ordre qui n’est pas humain, qui nous ai pas semblable et qui nous dépasse. Il rappelle que dans l’idée de transcendance il y a aussi une dimension axiologique, sa fonction est de nous inciter à pouvoir nous penser meilleur que nous le sommes. Si quelque chose
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