Le PSG
Dissertation : Le PSG. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar bouffeurdecouill • 24 Novembre 2012 • 436 Mots (2 Pages) • 914 Vues
Carlo Ancelotti ne trouve évidemment « pas normal » de s'incliner à domicile deux fois de suite. Ce n'est pour lui pas digne d'un grand club. Et c'est pour cela qu'il a aussitôt lâché le mot « crise », sans tabou, juste après la déroute face à Rennes (1-2). C'était il y a une semaine. Et malgré la victoire à Kiev (2-0) en Ligue des champions et la qualification pour les 8es de finale, le technicien Italien ne pense pas son équipe guérie. Kiev ne serait pour l'heure qu'un sparadrap. « Je ne pense pas que tout soit terminé. Il faudra voir le match de demain pour se prononcer, voir si l'attitude vue contre Kiev est là. C'est indispensable si on veut avoir de bons résultats. Nous devons récupérer les points perdus en Championnat. Ce sera un bon test pour nous. »
Ancelotti : « Il y a eu beaucoup de nouveaux joueurs et nous avons besoin de prendre du temps pour améliorer la solidité de l'équipe »Pour expliquer cette mauvaise passe en Ligue 1 - un point pris sur neuf possibles -, Carlo Ancelotti assure qu'il a encore besoin de temps pour souder son collectif. « Il y a eu beaucoup de nouveaux joueurs et nous avons besoin de prendre du temps pour améliorer la solidité de l'équipe », a-t-il encore répété. Jouer au Parc serait également devenu plus difficile pour une équipe de Paris qui a du mal à faire le jeu et qui serait donc plus à l'aise dans la contre-attaque. «A l'extérieur, on sait utiliser nos qualités de contres avec nos joueurs qui vont très vite.» Chiffres à l'appui, le PSG est effectivement plus dangereux à l'extérieur (2,33 en moyenne) qu'à la maison (1,57).
Pastore est attendu au tournant
Pour éviter de voir ressurgir un syndrome "Parc des Princes", le PSG doit absolument convaincre dans le jeu. Absent face à Rennes, Zlatan Ibrahimovic pourra apporter face à Troyes son légendaire "fighting spirit". «Ibra est un leader qui donne confiance à l'équipe», a confirmé Ancelotti, lequel va encore devoir se creuser les méninges pour composer son onze. Le retour en grâce de Nene et le (bon) rétablissement de Lavezzi, auteur d'un doublé à Kiev, sont autant de solutions offensives pour l'Italien. «A Kiev, Nene a beaucoup travaillé pour l'équipe. Il a été utile, j'ai apprécié», a confié l'entraîneur parisien. Quid de Pastore, dont la méforme persistance commence vraiment à inquiéter. Et à irriter. Mais l'Argentin pourrait bien être titulaire au poste de milieu offensif. A lui de ne pas (encore) décevoir, sinon son temps de jeu risque fort de diminuer comme une peau de chagrin. -
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