Le Clézio, Désert

Introduction :

Désert est une œuvre qui a était écrite par le clezio , cette œuvre est paru en 1980 , c'est un roman ,qui oppose deux milieux contrastes  : le milieu naturel du désert marocain où est née Lalla, l'héroïne, et la ville de Marseille où la jeune fille est obligée de se réfugier. Le lecteur découvre cette ville à travers les yeux de Lalla .

l'extrait qui est cible, porte un regard sur la vision de lalla , dans les rues de Marseille , qui lui paresse effrayante à ses yeux.

En quoi la ville parfait effrayante , et sa marche prend peu a peu des allures de fuite ?

En premier lieu nous verrons comment l'auteur permet au lecteur de s'imaginer ce milieux hostile, puis en second lieu nous verrons pourquoi la marche de lala prend peut à peu une allure de fuite.

La description qui ouvre l'extrait met le lecteur « en condition » il permet au lecteur de se faire un aperçu de l'environnement dans lequel lala se trouve , tout d'abord en situant de façon géographique sont emplacement, (la vieille ville de Marseille, dans le quartier du Bon-Jésus ) ainsi que du décor environnent ( les marchés des escalier défoncé , il y a des tâches rouges par terre comme le sang) . Tout de suite le lecteur comprend l'environnement mal sains auquel la jeune fille est elle confronté .

La ville est découverte au gré des mouvements et à travers le regard de Lalla de

nombreux verbes de mouvement tel que : «elle gravit lentement », « elle tourne à gauche »,« puis elle marche », « lala continue de marcher », nous permette de la suivre dans la ville , et ses yeux sont comme une caméra le champ lexical de la vue ou du regard (« voit », « voir », « regarder ») ; nous permet de voir ainsi et de se situer comme si l'on suivez lala ou que l'on regarderai ce qu'elle fait.

L'auteur nous fait partager le ressentit de lala, avec la mention des conséquences physiologique du à cette environnement est à la peur de cette jeune fille , "respirant avec peine" , "la sueur coule toujours sur son front, le long de son dos , mouille ses reins , pique ses ses aisselles".

L'auteur insiste sur l'absence de vie dans la ville , "il n'y a personne dans les rues" la seul vie mentionner sont " quelques chiens au poil hérisser qui ronge leur os en grognant " finalement on se pose la question ou se trouve réellement le désert

La mention de la " mort"est un thème reccurent vers la fin de l'extrait , dit sous forme implicite tel que " hérisser , grognant " , ou de façon explicite " un froid de mort " , " comme une haleine de mort "

Une vision fantastique de la ville , "

Le thème autours de la prison est aussi développer, " elle croit que c'est une prison ", "on entend les gémissements des prisonniers", " fenêtre garnit de rideaux"

Une ville effrayante , comme on a pût le voir : les thème

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