Christian Banquet au Moyen Age

1.1–Le premier document dont le titre est « Le banquet chrétien au Haut Moyen Age » est un article de l’Université de Provence parut en 1996, dont l’auteur est Jacqueline Voisenet. Le type de ce texte est explicatif et narratif. Il nous raconte comment les gens du Haut Moyen Age vivaient les évènements festifs. Les idées principales sont que les banquets avaient pour but de rassembler famille et amis autour d'une table bien garnie qui exprimer ainsi la générosité et la puissance de la personne qui recevait en offrant un repas digne des tables royales . Cette pratique permettait de renforcer les relations d'amitiés et de paix avec les convives.

Dans cet écrit, deux idées principales sont évoquées.L'auteur nous explique l'importance du banquet au Moyen Age qui avait pour but de réunir famille et amis autour d'un repas festif afin de renforcer les liens sociaux de solidarité et de confiance. Le rôle de ces repas était aussi de sceller les liens amicaux et de se réconcilier, pour marquer le statut de chacun et instaurer la paix de manière durable en échangeant des cadeaux (épées, objets rares, tissus, chevaux).

1.2 – Le document 2 est un extrait du roman d'Emile Zola "L'Assommoir" publié en 1877 et réédité par les Editions Gallimard Collection Folio en 1978. Le sous-titre est "La Fête de Gervaise". Ce passage est de type narratif. Il décrit un repas de fête dans le milieu ouvrier de la fin du XIXème siècle.

Gervaise, le personnage central de ce chapitre,souhaite offrir un repas très copieux à ses convives à l'occasion de sa fête. Les propos directeurs sont la gourmandise et la profusion de la nourriture et des vins lors du repas.

L'idée directrice est l'abondance de la nourriture et du vin qui crée un esprit de convivialité entre les invités qui sont tous issus du milieu ouvrier et habitués à se priver de nourriture plutôt que de manger de manière excessive comme ils le font à l'occasion de ce repas festif.

1.3 – Le document trois est un article intitulé « les femmes dans les banquets politiques en France vers 1848 » écrit par Jacqueline Lalouette et publié sur internet le 16 novembre 2006. Il s’agit d’un texte informatif dont l’idée directrice est que les femmes n’étaient pas admises lors des banquets civiques qui ont précédé et suivi la révolution de 1848.

Les idées principales sont l’opulence lors des banquets post révolutionnaires et le fait que seuls les hommes profitaient de ces banquets, les femmes ne pouvaient qu’observer, depuis les fenêtres, le repas. Les femmes étaient présentes sans pouvoir en déguster les mets, elles jouaient un rôle de décoration.

1.4- Le document quatre est un extrait du roman L’homme et le Sacré de Roger Caillois publié aux éditions Gallimard en 1938. Le chapitre s’intitule « La fête comme excès ». Il s’agit d’un texte informatif. L’idée directrice de ce document est l’effet néfaste de la fête dû aux excès que cela suscite.

Les idées principales de ce texte sont que les fêtes ont une forme différente comparée aux siècles précédents, mais le but des fêtes reste le même. Les pratiques sont les mêmes et le mode de fonctionnement des fêtards reste inchangé. Peu importe la raison festive, les gens tombent dans l’excès et ne s’arrêtent qu’une fois épuisés ou malades.

2. Résumé

Même avec les années qui passent, l'évolution de nos modes de vie ainsi que l'apparition de difficultés financières, les fêtes de nos jours ont des ressemblances avec celles d'antan. Peu importe les événements, tristes ou joyeux sont fêtés avec excès ; abondance de nourriture, de boissons, de chants, de danses. La fête est un moment de déchainement pour les gens. (60 mots).

3. Développement personnel.

Quelque soit les époques, les repas festifs ont toujours fait partie de nos vie, en effet nous organisons ou participons tous à des repas festifs plusieurs fois par an. Cependant, il est vrai que les repas festifs actuel on nettement évolués. Il est vrai que l'on n'est loin des banquets grandiose organisés par les nobles caractérisés par l'opulence des plats et un grand nombre de convives. Les repas festifs ont évolués et qu'elles explications peut-on donner à ces changements ?

Dans une première partie nous verrons les nouvelles formes de ces repas festifs et les cause de ses changement. Dans une seconde partie nous aborderons les nouveaux rôles de ces repas de festifs.

Les banquets d'autrefois donnés par des nobles étaient tournés vers la famille et amis de l'hôte mais aussi vers d'autres personnes, en réalisant un somptueux repas festifs une personne noble cherchait également à séduire tout le monde. C'est d'ailleurs ce que nous montre les textes de Jacqueline Voisenet et Jacqueline Lalouette. Il s'agissait de créer voir entretenir des alliances, ces repas étaient un moyen pour organiser une stratégie politique et pour ce faire, la richissime personne devait étaler ses pouvoirs et sa richesse en composant une table semblable à celle des rois.

Jacqueline Voisenet et Jacqueline Lalouette insiste dans leurs textes sur la richesse de la table, l'abondance de nourritures et de boissons.

De nos jours en comparaison avec les repas du Haut moyen âge et du 19ème siècle, le changement le plus important provient de notre rapport à la nourriture. En effet, l'abondance de mets aussi variés qu'ils soient ne se retrouve plus sur nos tables de fête. A présent aucun hôte, n'envisagerait une succession de pièces de viandes comme c'était le cas pour la fête de Gervaise issue du roman l'assommoir d'Emile Zola. Si par le passé ce type de denrées alimentaires étaient très convoitées pour la simple et bonne raison que c'était un luxe d'avoir accès à cette nourriture et très peux de personne pouvait en consommer. Pour reprendre le passage concernant la fête de Gervaise dans le roman d'Emile Zola, à l'occasion de cette fête Gevaise offre un repas copieux a ses convives avec une profusion de nourriture et de vins, chose qui est très rare pour elle et ses invités qui sont tous issus du milieux ouvrier. L'abondance de viande

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