Les Limites écologiques ( introduction Et Conclusion )

Début 2013 prendront fin les engagements pris par les pays signataires du protocole de Kyoto en 1997. Ce protocole marquait la volonté des nombreux pays de réduire l’impact écologique des activités productives humaines.

La croissance économique, qui correspond à l’augmentation durable des richesses produites au sein d’un territoire (richesses elles-mêmes mesurées au moyen du PIB réel) rencontre en effet des limites sur le plan environnemental : accroître la production est coûteux écologiquement. Quelles sont ces limites ?

On peut déjà les nommer : des limites qui tiennent à l'évolution du climat, une des menaces les plus graves

pour l'avenir de l'humanité et des limites quand à l'évolution de nos ressouirces naturelles.

Après avoir montré que la croissance entraîne un accroissement de la pollution et un réchauffement climatique nous verrons qu'elle conduit aussi à l’épuisement de certaines ressources naturelles.

Parce qu’elle conduit à un accroissement de la pollution se traduisant par des émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, et parce qu’elle implique une utilisation importante de ressources naturelles, la croissance économique a un coût écologique élevé.

On peut dès lors s’interroger sur les moyens à mettre en œuvre pour tenter de combiner augmentation des richesses produites et préservation de l’environnement. Quels instruments de politique climatique les pouvoirs publics peuvent-ils ainsi utiliser ?

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