Stage à Imperial Tobacco
Rapport de stage : Stage à Imperial Tobacco. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 18 Septembre 2014 • Rapport de stage • 1 709 Mots (7 Pages) • 1 394 Vues
Rapport de stage d’immersion a la Société Marocaine des Tabacs
Encadré par : Réalisé par :
Mme Hind BENKIRANE
Année universitaire : 2014/2015
Remerciements
Je remercie du fond du cœur toutes les personnes qui ont contribuées de près ou de loin à la réalisation de ce travail, fruit d’un effort considérable de recherche d’information.
Je tiens à remercier, à témoigner de ma reconnaissance pour l’expérience enrichissante et pleine d’intérêt qu’elles nous ont fait vivre durant la période de mon stage à Imperial Tobacco.
Mes remerciements et l’expression de ma grande satisfaction vont également à Mr Khalid KERROUMI qui m’a amplement honoré en acceptant de m’encadrer.
Table des matières
Introduction………………………………………………………………………….4
Partie I : Présentation de la société marocaine des tabacs...…….…………………..5
Chapitre 1 : Principaux faits du secteur du tabac au Maroc………………………5
Section 1 : De la Régie des Tabacs à la Société Marocaine des tabacs…...5
Section 2 : la société marocaine des tabacs et la libéralisation…….……...6
Chapitre 2 : La société marocaine des tabacs, filière d’Imperial Tobacco Group…. 7
Section 1 : Présentation de la SMT………………………………………...7
Section 2 : Environnement Interne de l’entreprise………………………..
Introduction
C’est avec enthousiasme que j’ai effectué mon stage au sein de la société marocaine des tabacs pour une durée de 2 mois. Pendant cette période, j'ai essayé de prendre le maximum de connaissances possibles concernant l’activité de l’entreprise et son environnement.
La croissance de la société marocaine des tabacs et la modernisation de son outil de production ayant mené des changements profonds, l’efficience de la gestion dans tous les domaines et la recherche de développement ont été les thèmes dominants des vingt dernières années de l’existence de la Régie.
L’évolution de cette société est remarquable à plusieurs égards. D’abord, au niveau des structures, un nouvel organigramme, plus conforme à la taille et aux ambitions de la société, a été mis en place pour permettre une large décentralisation et une répartition des responsabilités et même d’imprimer une meilleure efficacité aux secteurs clés de son activité.
Le stage est devenu le principal élément de liaison entre la formation pédagogique et le monde professionnel. C’est dans ce sens que j’ai choisi d’effectuer mon stage à la société marocaine des tabacs, une entreprise de stature internationale, afin de m’adapter à son organisation et de bénéficier d’un bon suivi.
Partie I : Présentation de la société marocaine des tabacs
Chapitre 1 : Principaux faits du secteur du tabac au Maroc :
Dans le cadre du processus de privatisation engagé par le Maroc avec le discours Royal de feu Hassan II en 1988 qui a annoncé l'adoption de la privatisation comme une option stratégique du développement économique du Royaume, et conformément à ses engagements internationaux, notamment les accords de l’OMC, la régie des tabacs a été inscrite sur la liste des sociétés privatisables en 2002.
Cette privatisation était une étape transitoire avant de libéraliser le secteur du tabac, vu que l’introduction de la concurrence avant la privatisation de l'opérateur national est préjudiciable aux intérêts patrimoniaux de l'Etat. L'opérateur perd de la valeur s'il est laissé à lui-même face à la concurrence internationale.
Pour mener à bien cette politique, une préparation du secteur concerné et de l’entreprise (monopole de l’Etat) doit avoir lieu (voir annexe).
Ainsi, La régie des tabacs devient Altadis en 2003, Imperial Tobacco en 2008, et la société marocaine des tabacs en 2013. Cette dernière opère dans un secteur qui devient libéralisé dès 2011.
Section 1 : De la Régie des Tabacs à la Société Marocaine des tabacs :
Créée en 1910 sous le nom de la Société Internationale de Régie co-intéressée, l’entreprise est passée en 1967 dans le giron de l’Etat comme Société Anonyme publique, dont les actions étaient entièrement détenues par l'Etat Marocain. Elle prend alors la dénomination «Régie des Tabacs ».
Le 2 juin 2003, La Régie des Tabacs marocaine appartient officiellement à hauteur de 80%, au groupe franco-espagnol Altadis, issu de la fusion de Tabacalera (Espagne) et de Seita, (France).
Le montant de la transaction était de 14,08 milliards de DH soit 1, 292 milliard d’euros. Une privatisation réussie qui récolte plus du double du prix plancher initialement fixé pour l’acquisition de la société (L’appel d’offre était lancé par le ministère marocain des Finances et
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