Poésie et poètes

Dans les 3 texte de ce corpus la poésie et les poètes sont comparés a des animaux plutôt répugnants ou méprisés .

La chenille guillaume apollinaire

« Devient le riche papillon » Pour guillaume Apollinaire la chenille travaille dur, « la chenille en peinant sans cesse » pour devenir ensuite un « riche papillon ». La chenille en étant répugnant est sujet a l'ignorance et au rejet, tout comme le lombric voir même l'huître. Cependant elle fait de son mieux pour travailler et elle est récompensée en devant un « magnifique papillon.

Donc Guillaume Apollinaire encourage tout les poète a travailler plus et de ne rien lâcher même si le métier de poète est dur car il seront obligatoirement récompenser de leur effort comme la chenille.

L'huître

D'après Francis Ponge l'huître est un être grossier, répugnant mais qui renferme un trésor, « formule perles » le mot formules est ici utilisés dans les deux sens grammatical pour la perle précieuse que l'ont trouve parfois dans les huîtres : une petite forme mais aussi le poète qui formule les mot qui les dit, cette élément permet d'affirmer que Ponge compare bien l'huitre à la poésie. La poésie est similaire a l'huître, elle expose les trésors des mots(révèle le

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