Optimisme – Pensée positive – Santé – Réussite
Étude de cas : Optimisme – Pensée positive – Santé – Réussite. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 28 Décembre 2013 • Étude de cas • 2 450 Mots (10 Pages) • 1 623 Vues
Résumé :
Le but de ce mini-mémoire est d'étudier de prés l'optimisme, et ses conséquences, sur plusieurs aspects de la vie des personnes qui l'adopte.
Dans un premier temps, nous allons définir l'optimisme à travers les écris de certains philosophes et psychologues, et essayer de trouver ou l'optimisme trouve sa source.
Dans un deuxième temps, nous explorerons les bien-faits de l'optimisme, essentiellement sur la santé des optimistes. Pour conclure, je donnerais mon avis personnel que j'ai pus construire à travers les lectures effectués, mon expérience, et mes convictions personnelles.
Mots-clés : Optimisme – Pensée positive – Santé – Réussite.
Introduction
L’être humain se pose des questions sur son avenir, son devenir, sur le dénouement de certaines situations, ou encore sur l’avenir du monde. Pour répondre à ces questionnements il doit choisir parmi des options qui se proposent à lui, en anticipant les conséquences possibles des choix potentiels. Selon les méthodes et les stratégies que va adopter chaque individu, il en ressortira une voie qu'il empruntera dans la plupart des moments de sa vie : Une voie pessimiste ou optimiste.
L’optimisme existe depuis toujours. Il y a sans doute parmi nos ancêtres les plus lointains des hommes et des femmes optimistes. Cependant le mot optimisme ne fut adopté et défini par l’académie française qu’en 1762.
Il est communément admis, tant dans le langage courant que dans la pensée collective, que « penser positivement » permet de mieux vivre sa vie, voire d’attirer la chance à soi. La raison pour laquelle j'ai choisis de traiter précisément ce sujet-là, est simple. J'étais curieuse, de savoir si ce qui se dit dans la vie de tous les jours est vrai. Mon expérience personnelle m'a aussi suggéré ce même sujet, dans la mesure où je me considère comme étant une personne optimiste. J'ai traversé une période difficile, qui m’a poussé à remettre en question l'attitude que j'ai adopté durant plusieurs années. Je me suis demandée si L’optimisme était la cause en quelque sorte de mes problèmes – Le fait de m'attendre à des choses positives m'aurait empêché d'anticiper certains danger potentiels – ou est-ce que les connaissances que j'ai, la définition que j'ai construite de l'optimisme, est-t-elle incomplète, ou encore l'optimisme n'est tout simplement pas « toujours » la voie idéal à adopter. Je me demande aussi, ce qui as fait de moi une personne optimiste, est-ce l’éducation que mes parents m’ont donné, est-ce les medias qui mettent en valeur l’optimisme ou est-ce encore tout simplement par foi. A travers ce mini-mémoire, j’essaierais de répondre à toutes ces questions.
I. L'optimisme :
Selon les dictionnaires LE PETIT ROBERT et LAROUSSE , l’optimisme est d’abord une doctrine philosophique marquée par deux courants importants – que je développerais au long de cette première partie – et ensuite que l’optimisme serait une disposition de l’esprit à voir et à prendre les choses du bon côté, en ayant confiance en l’avenir. Est aussi qualifié pour optimisme le fait de croire en le dénouement positif d’une situation particulière.
1. L'optimisme : une doctrine philosophique :
Historiquement parlant l'optimisme est une doctrine philosophique dans laquelle le monde est présenté comme étant un monde globalement bon, où le bien tient davantage de place que le mal. Leinbniz (1946 -1716), expose dans son livre Essai de théodicée sur la bonté de dieu, la liberté de l'homme et l'origine du mal, une approche théorique d'un optimisme absolue, selon laquelle le monde ne peut pas être meilleur qu'il ne l'est déjà. Le monde étant issu de la bonté divine, l'emporterait en perfection sur tous les mondes possibles. Cette approche théorique jugé extrémiste par beaucoup d'auteurs fut critiquée, et caricaturée par Voltaire – Lui-même connus pour être un grand optimiste – dans son célèbre livre Candide ou l'optimisme. A travers son œuvre Voltaire souhaite démontré que le monde n'est pas toujours « bon », que nous ne vivons pas dans « Le meilleur des mondes possibles » mais plutôt dans un monde imparfait, dans lequel parfois le malheur peut faire partie de notre quotidien, que les choses pourraient être meilleures qu'elles ne le sont.
D'autres philosophes ont posés les bases de la philosophie optimistes, dont Fénelon. A l'optimisme absolue de Leibniz, répond l'optimisme relatif (ou mélorisme) de Fénelon, qui se rapproche significativement de la définition de l'optimisme que l'on connait aujourd'hui. Selon lui le monde n'est pas absolument bon ; le mal existe, mais l'être humain par les atouts qu'il possède peut lui faire face. Pour Fénelon il y a plus de bonnes choses que de mauvaises choses, autrement dit la somme des biens l’emporterait sur celles des maux. L’être humain, par ses actes peut rendre le monde meilleur, l’améliorer en ayant confiance en lui en ses aptitudes ainsi qu'en celles de ceux qui partagent le monde avec lui, en ayant tout aussi confiance en le fait d’avoir le pouvoir de rentre les choses meilleurs. Voltaire parlait de Pangloss, et en Amérique on a aussi connu un personnage représentatif de l'optimisme nomé « Pollyanna », ce personnage eu un tel sucés, qu'en commença à parlé du syndrome de Pollyanne.
2. L'optimisme décrit et expliqué par les psychologues :
En psychologie sociale, le pessimisme et l'optimisme sont définis comme étant les voies par lesquelles les individus considèrent la tournure que vont prendre les événements. C’est surtout des psychologues sociaux qui se sont intéressés de près à l’optimisme, spécialement aux états unis. Christopher Peterson – psychologue américain – soutiens que l'optimisme s'acquiert dès notre plus jeune âge, il décrit un grand optimisme. Le grand optimiste se définirait selon Peterson comme une personne qui porte un regard globalement positif sur les événements ou sur la tournure qu'ils pourraient prendre. Cet optimisme se traduirait autant sur le court terme que le long terme. The big optimist comme l'a nommé Peterson est confiant, il a une forte personnalité et se sent en permanence capable d'affronter les aléas
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