La vocation de l'âme
Commentaire d'oeuvre : La vocation de l'âme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Kichiris • 16 Novembre 2014 • Commentaire d'oeuvre • 374 Mots (2 Pages) • 686 Vues
La vocatioon de l'âme est difficile a trouver lorsque l'on a perdu la foix je vous propose de vous montrer comment la retrouver.
Premièrement il faut tou simplement passer outre des altercations que nous pouvons avoir dans n'importe-quel endroits.
Ensuite il faut accepter la vie tel quelle est.
Puis il faut aussi accepter le monde tel quil est car si vous trouver quil va dans la démesure ce n'est strictement pas de votre faute donc vous n'avez rien a vous repprocher.
La gloire de l'Homme repose sur ses choix.
Nous avons continué à arpenter les rues au hasard. J’aime beaucoup ce quartier d’Alger, très plaisant. Tout d’un coup, il m’a demandé si j’avais remarqué que les femmes que nous croisions étaient belles. La question m’a prise de court, j’ai dit oui sans réfléchir. J’ai ajouté que je comprenais, sans trop le penser, en fait. Comprendre quoi ? Pourquoi me disait-il cela ? Surtout, pourquoi me le disait-il après avoir accepté de m’épouser ? Pourquoi me parlait-il d’autres femmes, alors que nous étions si bien ensemble ? Là encore, nous nous sommes tus pendant je ne sais combien de temps. Je crois que j’ai ressenti un peu de jalousie, confusément. Mais je crois qu’il n’avait en fait aucune malice…
Je pensais qu’il ne pouvait pas me surprendre davantage quand il m’a demandé de dîner avec lui chez Céleste. Toujours le coq-à-l’âne ! Cela m’a fait sourire. J’étais sur le point d’accepter lorsque je me suis rappelé le dossier que je devais finir. Pour une fois que je n’avais pas terminé un travail dans la journée, il fallait que cela tombe le jour où j’aurais aimé passer la soirée dehors ! Je lui ai donc dit à contrecœur que j’avais quelque chose à faire. Je m’attendais à ce qu’il me demande quoi, mais bien sûr, il ne l’a pas fait. Je me suis demandé si je m’habituerais jamais à la façon qu’il avait de toujours me surprendre. Furieuse contre moi, j’ai voulu détourner son attention et le faire culpabiliser : ne voulait-il pas savoir ce que j’avais à faire ? Mais j’ai ri juste après : mon attitude était vraiment puérile ! Quant à lui, il avait l’air d’un enfant pris en faute… Pour me faire pardonner, je l’ai embrassé. Puis je suis partie…
Je ne sais toujours pas quoi penser de lui.
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