Axiome: Métacommunication
Commentaire d'oeuvre : Axiome: Métacommunication. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 8 Février 2014 • Commentaire d'oeuvre • 847 Mots (4 Pages) • 1 171 Vues
Psychologie de la communication
Axiome : la métacommunication
Niveau 1 : toujours communication
niveau identitaire
La spécificité du langage humain => la métacommunication.
Primatologie :
anthropologie du langage
Il y a 50 ans on cherchait a définir la spécificité de l'être humain.
Années 80 => Washoe
pendant 10 ans on va apprendre le langage des signes à un chimpanzé, elle est capable des parler avec les scientifiques qui l'ont élevés.
=> protolangage
Les chimpanzés sont incapable d'avoir accès au métanivea, ne fait pas la distinction entre la signification et le sens.
La notion de charge sémantique
Les mots font toujours sens en contexte.
« liberté », « «politique », « femme », « sexe »,....
nous partageons une même signification MAIS les mots font sens en contexte ( en fonction des époques, des cultures, de nos histoires respectives,...)
Les mots sont chargés de sens : ils disposent d'une charge sémantique qui méta-communique.
Chez Plasmann, la charge sémantique de « Château Laffite » ou « 90€ » est différente de « 2,50€ » ou « merlot ».
Condry : charge sémantique « petit garçon » est différente de la charge sémantique « petite fille ».
La charge sémantique des comportements humains.
Exemple : classique de l'anthropologie culturelle.
Le processus de séduction :
Comportements (communication)
L'expérience de Watzlawick :
Dans un contexte d'après guerre années 50, un nombre important de soldat américain qui séjourne en Angleterre. Les anglaises ont été perçues comme :
soit hystérique
soit nymphomane
La réalité (tous ce que nous percevons ) ont une signification, elles ont une charge sémantique plus ou moins forte.=> cela métocommunique ( ça dit plus que ce que ça dit). On y met du sens.
=> on voit ce que l'on croit.
L’amorçage sémantique
La façon de poser les questions induit un certain type de réponse
AS:l'influence d'un élément (amorce:charge sémantique) sur un autre élément (la cible)= interprétation de la réalité (perception réelle) ex:Plassman
On répond davantage à la façon dont est posée la question qu'à la question elle-même, de la même façon qu'on perçoit davantage le vin en fonction de son prix que son goût réel...
Si la façon de poser les questions induit un certain type de réponse, elle induit aussi un certain type de raisonnement.
=> BILAN : Le langage (langue/comportements) conditionnent notre perception de laréalité
Exercices de déconditionnement.
III- La Cognition humaine : le principe inférentiel
Notre réalité est une interprétation construite par le cerveau.
L'EH construit du sens là où il y a de la signification : Métocommunication ( charge sémantique, amorçage sémantique) pour voir ce qu'il croit (CONSONNANCE COGNITIVE)
Ce processus d'interprétation est appelé une INFERENCE.
Illusions de Kennedy& Kanizsa
nous produisons des
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