Oubli du nom Signorelli
Étude de cas : Oubli du nom Signorelli. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar guigui4845 • 19 Décembre 2016 • Étude de cas • 880 Mots (4 Pages) • 2 466 Vues
Schéma du réseau des noms qui explique l’oubli du nom Signorelli.
On divise le schéma en trois partis dans le contexte de l’analyse de Freud sur son oubli de nom : Le conscient, le préconscient et l’inconscient.
Conscience :[pic 1]
Histoires avec l’étranger sur le rapport des patients Turcs avec leur Herr docteur (seigneur)[pic 2]
Choix des histoires dites et non dites. 1ere histoire : sur le rapport des Turcs avec la vie et la mort. 2eme histoire : non divulgué volontairement pour évité de parler de sexualité avec un étranger.
Conscience du lieu ou il se trouve. Il est en route pour la BOSnie- HERzégovine dans vraisemblablement une diligence avec un inconnu.
Préconscient (=Mémoire) :[pic 3]
Souvenir des fresques magnifiques d’Orvieto.
Souvenir des noms d’artistes BOtticELLI et de BoltraFFIO.
Inconscient :
SignorELLI
Télégramme reçu auparavant à Traffoï, apprenant à Freud la mort d’un de ces patients ayant un trouble de la sexualité.
*Les marquages de couleur, montrent les liens entre les niveaux de conscience et les assonances des mots.
« L’oubli du nom Signorelli »
Le texte traité, est un extrait numérique du livre : Psychopathologie de la vie quotidienne écrit par Sigmund FREUD en 1901. Dans cet ouvrage il cherche à expliquer les oublis courants, les lapsus, les actes manqués les erreurs de lecture ou encore d’écriture. Le passage choisi « du mécanisme psychique de la tendance à l’oubli » veux montrer l’importance de l’inconscient dans ce phénomène. Freud estime que la conscience n’est pas toute puissante face à l’inconscient qui selon lui nous dirige pour la majeur partie du temps. Par ce texte, il veux prouver que le refoulement n’est pas un acte contrôlé par le moi conscient, mais plutôt par un mécanisme autoguidé et protecteur dans notre inconscient. Freud va auto analyser un fait personnel qui l’a frappé lors d’un voyage.
Pour éclaircir le sujet, on peut commencer par ce mettre dans le contexte. Freud est en vacance en Europe de l’Est. Il reçoit un télégramme alors qu’il ce trouve à Trafoï, annonçant qu’un de ces patients vient de se suicider, il souffrait d’un trouble sexuel incurable. Sa responsabilité entre médecin et patient fait que Freud est certainement touché par cette information. Il poursuit néanmoins son voyage. C’est quelques semaines plus tard, que Freud se retrouve avec un inconnu dans une « voiture » en direction de Bosnie-Herzégovine. Il discute avec l’étranger, en échangeant de choses est d’autres, ils finissent par parler de la particularité des gens de la régions, au sujet des rapports entre les patients turcs et leurs médecins. Freud raconte une histoire qu’un confrère Allemand lui à raconter. Il faut signaler qu’il nomme les médecins « HERR » qui signifie seigneur. Il se retient de parler d’une histoire traitant de la vie, la mort, mais surtout de la sexualité. Change de sujet et souhaite savoir si l’étranger connaît certaines fresques magnifiques à Orvieto en Italie. Des fresques, il faut le signaler qui représentes bien souvent la nudité. Cherche dans sa mémoire le nom de l’artiste, ne le trouve pas, mais lui vient à L’esprit les noms de Botticelli et de Boltraffio. Il sait pertinemment que ce n’est pas les bon noms, mais et incapable de se rappeler du vrai artiste, ce sera quelques temps après cette rencontre que le nom de Signorelli lui sautera aux yeux.
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