Freud et la sexualité
Cours : Freud et la sexualité. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Rose34 • 14 Janvier 2018 • Cours • 1 167 Mots (5 Pages) • 1 114 Vues
21/10/15 Brial
ITEP : centre pour enfants et adolescents.
Cours sur Freud, la sexualité de l’enfant et sa libido.
Discours d’Amour, ou comment on s’humanise.
Bibliographie :
Etude de Freud : il est le pionnier de la psychanalyse. Médecin Autrichien. Il a étudié les femmes de la bourgeoisie avec la sexualité (les pulsions).
Ouvrage de Freud : les trois essais sur la théorie de la sexualité. Plusieurs éditions des 3 essais qu’il met à jour selon ses découvertes.
Autre ouvrage de Freud : introduction à la psychanalyse.
Naissance de la clinique de Michel Foucault
Serge Leclaire qui faisait des shows et parlait de la naissance du psychisme.
Jeu et réalité de Ben K.
[Fin de la bibliographie]
Enoncés ou théories :
Enonciation (silence, rythme, la façon dont on l’entend).
Certains enfants ou ados quand ils se retrouvent devant un psychothérapeute sont bloqués avec la parole, d’où l’utilité d’un musicothérapeute ou d’un ergothérapeute.
Espace transitionnel : instrument ou son qui permet de créer un lien et de communiquer.
Il faut communiquer avec le psychothérapeute. Bien s’occuper de soi-même d’abord est primordial. Il faut donc prendre un certain recul et sentir avec quel patient le travail est difficile. Se méfier de ce qu’on croit avoir compris.
« Mes maitres sont les fous et les enfants » by Freud.
Eviter de vouloir tout saisir, il faut se laisser porter par le discours de l’autre.
L’énonciation (la forme) est importante et non le fond. C’est la façon dont s’exprime l’autre.
LA CLINIQUE= OBSERVATION qui a un rapport au lit du malade qui se fait près du lit du malade sur le sujet même et non par les livres ou la théorie.
L’observation est donc très importante, comme chez les médecins généralistes. Il faut avoir un corps présent (un contact physique).
Bien savoir communiquer avec ses collègues est important pour voir le suivi du patient.
QUESTION EXAMEN -> la clinique
La clinique : observer, entendre et voir, parler au singulier et éviter de se projeter.
On ne peut pas entendre et recevoir tout le monde. Si l’histoire ou le passé de la personne nous touche trop il faut refuser de donner des soins. Le savoir peut devenir extrêmement encombrant.
Ce qui est fondamental dans la clinique c’est le « comment » et non le pourquoi. Comment s’est arrivé ? Comment on peut dénouer tout cela ? Comment cela s’organise. Il y a aussi le pourquoi des enfants. Bonne réponse argument d’autorité ou alors « quand tu seras plus grand ». Il faut faire attention de ne pas tout dire. Exemple d’un enfant de 2 ans qui a trouvé un tampax et qui dit « oh le gros coton tige » Sa mère lui a bien répondu en lui disant qu’il saurait ce que c’est plus tard. Il y a un âge pour chaque chose. Si on lui dit la vérité l’enfant risque de créer une peur.
Petit il en est de savoir comment on fait des bébés, plus grand la question est « Comment fait-on l’amour ? ». Il ne faut pas non plus parler par exemple de la cigogne en racontant un mensonge à l’enfant. Il faut savoir rester évasif. Garder le mystère est une des solutions pour ne pas combler l’envie de savoir. Il faut respecter le cheminement psychique de l’enfant pour ne pas tout mâcher à celui-ci. Savoir calmer le questionnement de l’enfant est important.
Les parents ne peuvent pas tout savoir sur l’enfant, ceux-ci doivent éviter de mentir, ou alors demander de l’aide à des proches si il y a malaise ou bien reporter l’explication quand l’enfant aura l’âge. « Une éducation réussie c’est une éducation qui rate » pour Freud.
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